j’ai lu tous les commentaires je pense que c’est indication et c’est source que c’est Mr-Grosbill qui est vrai, comparé a vous Mme Guest aucune source exploitable
Et bien Madame, permettez-moi – très humblement – de douter non pas de votre talent d’écrivaine, que je juge certain, ni de votre connaissance de la conjugaison (vous semblez savoir votre subjonctif présent) mais de votre maîtrise de la langue française. Madame l’écrivaine, avant de faire votre donneuse de leçon, vous devriez apprendre les modalités d’utilisation du subjonctif (je vous déconseille fortement d’utiliser «après que» + subjonctif dans vos livres, cela risque de faire très mauvaise impression). Au plaisir de vous revoir… Grosse maline :)
Je ne vois pas en quoi utiliser le subjonctif à la suite de «après que» ferait mauvaise impression, alors que de grands auteurs l’utilisent… quelle mauvaise foi, vraiment. Débattre sur ce sujet reviendrait au même genre de débat que «au temps pour moi» et «autant pour moi» ; c’est une perte de temps. Donc avant de vouloir donner des leçons à une donneuse de leçons, et par la même occasion juger les gens sans les connaître, on se renseigne un peu plus avant de déballer des âneries. Merci.
Ma chère Sabrina,
Je dois être un peu bête mais je me fie à cette bonne vieille Académie Française pour tout ce qui concerne la langue française. Et comme quelques mots valent mieux qu’un long discours, voilà un lien qui risque de vous intéresser : https://academie-francaise.fr/apres-que. Vous pouvez cependant – et je vous y encourage – faire part de votre remarque à l’Académie et demander par la même occasion à ce que soit supprimée cette loi injuste, absurde et transgressée par 95 % des Français…
Vous savez, ce n’est pas parce que 95 % des Français n’utilisent plus l’imparfait du subjonctif que celui-ci a disparu. D’une manière générale, ce n’est pas parce qu’une majorité d’individus font une faute que celle-ci ne doit plus être considérée comme telle !
Ah bon, de «grands auteurs» qui utilisent le subjonctif après «après que» ? Du genre Musso, Lévy et autres Gavalda (et encore, je suis sûr que même eux ne font pas de fautes aussi grossières) ? Sérieusement, je vous mets au défi de me trouver un tel auteur.
Non ma chère, la seule impression que vous me donnez est celle d’un entêtement (en parlant d’âneries hein…) qui ne favorise pas le débat. Encore que, ici il n’y a pas de débat, puisque j’ai raison et – du moins jusqu’à ce que l’Académie écoute vos sages conseils – puisque vous avez tort. Admettez vos erreurs au lieu de vous obstiner !
Cordialement,
Mr-Grosbill.
P.S. : en même temps, il est vrai que corriger quelqu’un concernant une faute qui n’existe pas puis s’amuser à faire des remarques sur l’orthographe d’un autre individu (le tout en justifiant sa fausse connaissance par le statut d’écrivaine) est assez humiliant. D’où votre difficulté à avouer. Comme je vous comprends…
P.S. bis : cependant, je dois avouer que vous faites des progrès notables et tout à fait encourageants en avouant une de vos erreurs… Continuez, vous êtes en bonne voie !
J’ai ri en lisant votre poste parce que non seulement vous montez sur vos grands chevaux en prétendant avoir raison, et moi tort, et en appuyant sur le fait qu’il n’y a aucun débat, et blablabla. Or, le plus têtu c’est bien vous, puisque vous refusez tout débat, donc ne mélangez pas les rôles. Vous vouliez connaître des auteurs qui l’utilisent ? Gide, Georges Duhamel, François Mauriac, Camus, Jules Roy, Léautaud, Thierry Maulnier, Marcel Brion, Henry Bordeaux, Aragon…
Donc plutôt que de vous braquer comme vous le faites en vous cachant derrière l’Académie, faites des recherches. Vous voulez rester dans votre époque, restez-y, mais ce n’est certainement pas grâce à des gens comme vous que la langue évoluera.
Je ne répondrai plus à vos messages si le débat ne s’ouvre que d’un côté, vous n’en valez pas la peine, et tout ce qui vous intéresse, c’est de savoir qui a la plus grosse. Ça n’amuse que vous, et on voit tout de suite votre genre de mentalité.
Ah oui, que dit l’Académie sur «au temps pour moi» ? Hum… vous n’avez pas même pas regardé… que comme plus personne ne le dit, c’est l’expression «autant pour moi» qu’il faut employer, même si elle n’est pas justifiée. «Même si elle n’est pas justifiée». Alors vous et vos grands mots……
Cordialement.
Ma chère Sabrina,
Je voudrais tout d’abord vous dire que je suis un individu «normal» (même si j’ai ce mot en horreur) : oui je fais des fautes d’ortographe, oui il m’arrive de me tromper. En revanche, je ne me permettrai jamais de donner des leçons à quelqu’un alors que je ne suis pas sûr de l’argument que j’avance. Question de respect, je pense.
Sans vous offenser, j’ai peine à vous croire concernant les grands auteurs que vous citez… Mais dans tous les cas, comme vous aimez bien les pourcentages, vous consentirez à m’accorder le fait que dans la majorité des cas, les grands auteurs emploient «après que» + indicatif (trouvez-moi une phrase avec «après que» + subjonctif, je vous en trouverai dix avec «après que» + indicatif). J’ai fait des recherches ma brave, et vous savez où elles m’ont mené ? Sur le site de l’Académie Française. Après, je me doute bien que c’est l’Académie Française qui a tort, et que c’est vous qui avez raison, pauvre individu rationnel que je suis ! Par acquit de conscience, j’ai aussi vérifié dans le Bescherelle (puisque ces bougres d’Académiciens ne connaissent rien à l’évolution de la langue !), et le résultat est le même. Je précise que vous avez tout à fait le droit de remettre en cause le Bescherelle.
Non, ce qui m’exaspère le plus dans votre comportement, c’est que vous vous permettez de venir faire votre donneuse de leçons sur ce site, et que votre remarque est fausse (après oui, vous pouvez dire «non mais je suis venu corriger cette citation parce qu’elle ne correspond pas à ce que disent la majorité des gens», mais il n’empêche que votre remarque reste fausse pour l’instant ; peut-être que dans 10 ans cela aura changé, je ne le nie pas et ne nie pas non plus l’évolution de la langue, mais pour l’instant, en français correct, «après que» est suivi d’un indicatif ; dans tous les cas, votre raisonement est paradoxal puisque vous venez corriger une faute qui n’existe pas)… Et en plus, vous osez justifier votre connaissance (fausse qui plus est) par votre statut d’écrivaine. J’ajouterai que je n’apprécie pas votre manière de prendre les gens de haut alors que votre intervention était erronée, comme vous l’avez fait en vous permettant de corriger les fautes d’ortographe de ce brave Dark Vador (comme s’il ne savait pas écrire), et en me traitant par la suite de gros malin en sous-entendant que je n’avais pas le niveau d’un CM1. Avouez d’ailleurs que dans le style «Je vous prends de haut», je suis très fort aussi ; j’essaye de me mettre à votre niveau.
Cependant la vérité, Madame, est que vous vous êtes trompée, et que vous essayez maintenant de rattraper vos erreurs. Si vous ne souhaitez pas continuer ce débat, tant mieux ; j’aurais au moins la bonne conscience d’avoir tout essayé pour vous montrer la voie de la raison. Mais face à des individus aussi entêtés, cela fonctionne difficilement.
Cordialement,
Mr-Grosbill.
P.S. : je ne sais pas pourquoi vous faites une fixation sur l’expression «au temps pour moi» (peut-être pour justifier votre erreur, ou pour détourner notre «débat» initial ? Soit dit en passant, cela n’a rien à voir avec la choucroute)… En tout cas, cela vous décrédibilise plus qu’autre chose puisque l’Académie dit clairement que rien ne justifie l’emploi de «autant pour moi» !
Débat
de la nuit : un barbarisme employé par 95% de la population, au moins,
est-il toujours un barbarisme ou une évolution de la langue ? Vous avez deux heures.
Par ailleurs, ma seule erreur est d’avoir dit que c’était du subjonctif présent. Ça ne l’est pas, c’est du subjonctif passé. Après que + subjonctif présent, d’accord ça ne va pas. Mais le subjonctif passé, tu auras beau dire tout ce que tu voudras, tu ne me feras pas changer d’avis.
j’ai lu tous les commentaires je pense que c’est indication et c’est source que c’est Mr-Grosbill qui est vrai, comparé a vous Mme Guest aucune source exploitable
«Ayez», pas «avez»…
L’erreur est Humaine
Pas de majuscule à humaine :)…
Non mais en faite , j’écris comme je veux
En fait*
… Ok
En fait, c’est bien «avez»… :)
Tiens, subjonctif présent ! Niveau CM1 ou CM2. Gros malin…
https://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/auxiliaire/avoir/
Et bien Madame, permettez-moi – très humblement – de douter non pas de votre talent d’écrivaine, que je juge certain, ni de votre connaissance de la conjugaison (vous semblez savoir votre subjonctif présent) mais de votre maîtrise de la langue française. Madame l’écrivaine, avant de faire votre donneuse de leçon, vous devriez apprendre les modalités d’utilisation du subjonctif (je vous déconseille fortement d’utiliser «après que» + subjonctif dans vos livres, cela risque de faire très mauvaise impression). Au plaisir de vous revoir… Grosse maline :)
Je ne vois pas en quoi utiliser le subjonctif à la suite de «après que» ferait mauvaise impression, alors que de grands auteurs l’utilisent… quelle mauvaise foi, vraiment. Débattre sur ce sujet reviendrait au même genre de débat que «au temps pour moi» et «autant pour moi» ; c’est une perte de temps. Donc avant de vouloir donner des leçons à une donneuse de leçons, et par la même occasion juger les gens sans les connaître, on se renseigne un peu plus avant de déballer des âneries. Merci.
Ma chère Sabrina,
Je dois être un peu bête mais je me fie à cette bonne vieille Académie Française pour tout ce qui concerne la langue française. Et comme quelques mots valent mieux qu’un long discours, voilà un lien qui risque de vous intéresser : https://academie-francaise.fr/apres-que. Vous pouvez cependant – et je vous y encourage – faire part de votre remarque à l’Académie et demander par la même occasion à ce que soit supprimée cette loi injuste, absurde et transgressée par 95 % des Français…
Vous savez, ce n’est pas parce que 95 % des Français n’utilisent plus l’imparfait du subjonctif que celui-ci a disparu. D’une manière générale, ce n’est pas parce qu’une majorité d’individus font une faute que celle-ci ne doit plus être considérée comme telle !
Ah bon, de «grands auteurs» qui utilisent le subjonctif après «après que» ? Du genre Musso, Lévy et autres Gavalda (et encore, je suis sûr que même eux ne font pas de fautes aussi grossières) ? Sérieusement, je vous mets au défi de me trouver un tel auteur.
Non ma chère, la seule impression que vous me donnez est celle d’un entêtement (en parlant d’âneries hein…) qui ne favorise pas le débat. Encore que, ici il n’y a pas de débat, puisque j’ai raison et – du moins jusqu’à ce que l’Académie écoute vos sages conseils – puisque vous avez tort. Admettez vos erreurs au lieu de vous obstiner !
Cordialement,
Mr-Grosbill.
P.S. : en même temps, il est vrai que corriger quelqu’un concernant une faute qui n’existe pas puis s’amuser à faire des remarques sur l’orthographe d’un autre individu (le tout en justifiant sa fausse connaissance par le statut d’écrivaine) est assez humiliant. D’où votre difficulté à avouer. Comme je vous comprends…
P.S. bis : cependant, je dois avouer que vous faites des progrès notables et tout à fait encourageants en avouant une de vos erreurs… Continuez, vous êtes en bonne voie !
J’ai ri en lisant votre poste parce que non seulement vous montez sur vos grands chevaux en prétendant avoir raison, et moi tort, et en appuyant sur le fait qu’il n’y a aucun débat, et blablabla. Or, le plus têtu c’est bien vous, puisque vous refusez tout débat, donc ne mélangez pas les rôles. Vous vouliez connaître des auteurs qui l’utilisent ? Gide, Georges Duhamel, François Mauriac, Camus, Jules Roy, Léautaud, Thierry Maulnier, Marcel Brion, Henry Bordeaux, Aragon…
Donc plutôt que de vous braquer comme vous le faites en vous cachant derrière l’Académie, faites des recherches. Vous voulez rester dans votre époque, restez-y, mais ce n’est certainement pas grâce à des gens comme vous que la langue évoluera.
Je ne répondrai plus à vos messages si le débat ne s’ouvre que d’un côté, vous n’en valez pas la peine, et tout ce qui vous intéresse, c’est de savoir qui a la plus grosse. Ça n’amuse que vous, et on voit tout de suite votre genre de mentalité.
Ah oui, que dit l’Académie sur «au temps pour moi» ? Hum… vous n’avez pas même pas regardé… que comme plus personne ne le dit, c’est l’expression «autant pour moi» qu’il faut employer, même si elle n’est pas justifiée. «Même si elle n’est pas justifiée». Alors vous et vos grands mots……
Cordialement.
Ma chère Sabrina,
Je voudrais tout d’abord vous dire que je suis un individu «normal» (même si j’ai ce mot en horreur) : oui je fais des fautes d’ortographe, oui il m’arrive de me tromper. En revanche, je ne me permettrai jamais de donner des leçons à quelqu’un alors que je ne suis pas sûr de l’argument que j’avance. Question de respect, je pense.
Sans vous offenser, j’ai peine à vous croire concernant les grands auteurs que vous citez… Mais dans tous les cas, comme vous aimez bien les pourcentages, vous consentirez à m’accorder le fait que dans la majorité des cas, les grands auteurs emploient «après que» + indicatif (trouvez-moi une phrase avec «après que» + subjonctif, je vous en trouverai dix avec «après que» + indicatif). J’ai fait des recherches ma brave, et vous savez où elles m’ont mené ? Sur le site de l’Académie Française. Après, je me doute bien que c’est l’Académie Française qui a tort, et que c’est vous qui avez raison, pauvre individu rationnel que je suis ! Par acquit de conscience, j’ai aussi vérifié dans le Bescherelle (puisque ces bougres d’Académiciens ne connaissent rien à l’évolution de la langue !), et le résultat est le même. Je précise que vous avez tout à fait le droit de remettre en cause le Bescherelle.
Non, ce qui m’exaspère le plus dans votre comportement, c’est que vous vous permettez de venir faire votre donneuse de leçons sur ce site, et que votre remarque est fausse (après oui, vous pouvez dire «non mais je suis venu corriger cette citation parce qu’elle ne correspond pas à ce que disent la majorité des gens», mais il n’empêche que votre remarque reste fausse pour l’instant ; peut-être que dans 10 ans cela aura changé, je ne le nie pas et ne nie pas non plus l’évolution de la langue, mais pour l’instant, en français correct, «après que» est suivi d’un indicatif ; dans tous les cas, votre raisonement est paradoxal puisque vous venez corriger une faute qui n’existe pas)… Et en plus, vous osez justifier votre connaissance (fausse qui plus est) par votre statut d’écrivaine. J’ajouterai que je n’apprécie pas votre manière de prendre les gens de haut alors que votre intervention était erronée, comme vous l’avez fait en vous permettant de corriger les fautes d’ortographe de ce brave Dark Vador (comme s’il ne savait pas écrire), et en me traitant par la suite de gros malin en sous-entendant que je n’avais pas le niveau d’un CM1. Avouez d’ailleurs que dans le style «Je vous prends de haut», je suis très fort aussi ; j’essaye de me mettre à votre niveau.
Cependant la vérité, Madame, est que vous vous êtes trompée, et que vous essayez maintenant de rattraper vos erreurs. Si vous ne souhaitez pas continuer ce débat, tant mieux ; j’aurais au moins la bonne conscience d’avoir tout essayé pour vous montrer la voie de la raison. Mais face à des individus aussi entêtés, cela fonctionne difficilement.
Cordialement,
Mr-Grosbill.
P.S. : je ne sais pas pourquoi vous faites une fixation sur l’expression «au temps pour moi» (peut-être pour justifier votre erreur, ou pour détourner notre «débat» initial ? Soit dit en passant, cela n’a rien à voir avec la choucroute)… En tout cas, cela vous décrédibilise plus qu’autre chose puisque l’Académie dit clairement que rien ne justifie l’emploi de «autant pour moi» !
Débat
de la nuit : un barbarisme employé par 95% de la population, au moins,
est-il toujours un barbarisme ou une évolution de la langue ? Vous avez deux heures.
Par ailleurs, ma seule erreur est d’avoir dit que c’était du subjonctif présent. Ça ne l’est pas, c’est du subjonctif passé. Après que + subjonctif présent, d’accord ça ne va pas. Mais le subjonctif passé, tu auras beau dire tout ce que tu voudras, tu ne me feras pas changer d’avis.
Pk vou vou prenai la tete ?
Et c’est une écrivaine qui parle.
Et si elle te regarde pas , elle te fais la gueule
La logique…
Pourquoi elle sont pas née avec un Manuel d’utilisation ?
Bah ce serait comme jouer au puzzle 1000 pièces avec un model voyons.
Dieu aime nous voir souffrir dans ses casse têtes philosophiques.
A bah Oui , sinon on s’en lasserais vite aussi , je comprend mieux
Ça fait maintenant un jours que je me suis infiltré, ils ne semblent pas m’avoir remarqué.
J’ai réussis à apporter des informations grâce à cet enregistrement.
https://www.youtube.com/watch?v=pKEAjIpO_SY
Ah oui quand même…
J’ai pas beaucoup de succès avec les filles , et alors ?
XDDDDDDDDDDDD
c’est qu elle s en fou !
Jamais !