Aller au contenu

Imaginez un instant que deux médicaments déjà connus pour leur efficacité contre le cancer soient capables de freiner, voire inverser, les ravages d’une maladie neurodégénérative aussi dévastatrice que la maladie d’Alzheimer. Ce n’est pas de la science-fiction, mais le résultat d’une étude récente menée à l’Université de British Columbia qui secoue les certitudes sur le traitement de cette pathologie complexe. En combinant trametinib et temsirolimus, deux molécules autorisées pour le cancer, des chercheurs ont observé non seulement une interruption de la mort des neurones chez la souris, mais également une restauration significative des capacités mnésiques. Un effet qui ouvre une brèche dans la recherche, longtemps marquée par l’impuissance et les échecs. L’urgence, la complexité, l’enjeu : voilà pourquoi cette avancée doit retenir toute notre attention.

facebook icon twitter icon linkedin icon
Copié!

Commentaires

0 0 votes
Évaluation de l'article
Subscribe
Notify of
guest
0 Commentaires
Newest
Oldest Most Voted
Inline Feedbacks
View all comments
More Content