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Voilà, c’est posé. Jeûner, se restreindre, c’est-à-dire parfois tordre le cou à ses propres instincts nutritionnels, semblerait être mauvais pour l’homme, on se le murmure partout. Mais dans le secret des laboratoires, et sur des milliers de cerveaux scrutés, une autre vérité façonne lentement la littérature scientifique : le jeûne intermittent aurait le pouvoir inattendu, radical, sur le fonctionnement de notre cerveau. On pensait le privation dommageable, elle serait stimulante. D’où ce vertige intellectuel : et si se priver n’était pas seulement survivre, mais aussi vibrer plus fort, penser plus vite, développer la plasticité même de la pensée ?

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