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Un événement extraordinaire vient de secouer la communauté scientifique, médicale, éthique, et, franchement, notre vision même du temps, de la filiation et de ce qui fait l’essence du progrès biotechnologique. Imaginez : un embryon conçu il y a plus de trois décennies, congelé dans l’attente d’une vie qui semblait à jamais en suspens, vient d’être implanté avec succès dans l’utérus d’une femme. Résultat ? Un bébé, tout à fait sain, totalement « moderne » et pourtant, porteur d’un passé scientifique hallucinant. Ce n’est pas de la science-fiction ; c’est l’histoire réelle d’un couple de l’Ohio, aux États-Unis, et de leur fils, « le plus vieux bébé du monde ». Avouez… le vertige est immédiat. Comment la technologie a-t-elle permis ce prodige ? Qu’est-ce que cela implique pour l’avenir de la procréation, de la famille, du droit, voire de la philosophie ? Allons-y. Sans transition parfaite, mais avec l’urgence de clarifier, d’explorer, d’oser questionner l’inimaginable.

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