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Dans le ciel entre la Chine et Istanbul, Recep Tayyip Erdogan a lâché une bombe diplomatique qui résonne encore dans les couloirs du pouvoir américain. Le président turc n’y va pas par quatre chemins: les États-Unis doivent immédiatement revenir sur leur décision de refuser l’accès aux dirigeants palestiniens pour l’Assemblée générale de l’ONU. Une déclaration qui transforme un vol de retour en tribune politique et révèle les fractures profondes de la diplomatie internationale autour du conflit israélo-palestinien.

Cette sortie fracassante d’Erdogan survient dans un contexte explosif où Washington vient de claquer la porte au nez de Mahmoud Abbas et de plus de 80 responsables palestiniens, les empêchant de participer au grand rendez-vous annuel des Nations unies prévu ce mois-ci. Un geste qui fait l’effet d’une gifle diplomatique en pleine montée des reconnaissances internationales de l’État palestinien.

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