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Dans le silence assourdissant du Peacock Theater de Los Angeles, une hypocrisie monumentale s’est déployée sous les projecteurs dorés des Emmy Awards 2025. Pendant que Charlie Kirk, activiste conservateur de 31 ans, reposait dans son cercueil après avoir été abattu d’une balle dans la nuque devant 3 000 étudiants médusés, Hollywood célébrait sa nuit de gala en ignorant superbement cette tragédie américaine. Pas un mot, pas un geste, pas même un silence respectueux pour cet homme dont l’assassinat avait secoué la nation entière. Mais oh ! Les keffiehs palestiniens ornaient fièrement les cous des stars, les discours enflammés sur la « Palestine libre » résonnaient dans les micros, et les « Fuck ICE ! » fusaient depuis les podiums. Cette sélectivité morale révèle toute la pourriture de l’élite hollywoodienne : capable d’empathie pour Gaza à 12 000 kilomètres de distance, mais incapable de compassion pour un Américain tué sur le sol national.

L’émission du 15 septembre 2025 restera dans l’histoire comme l’illustration parfaite de l’aveuglement idéologique qui gangrène l’industrie du divertissement américaine. Javier Bardem paradait avec son keffiyeh en dénonçant le « génocide à Gaza » tandis que Hannah Einbinder de « Hacks » concluait son discours de remerciement par un retentissant « Fuck ICE and free Palestine ! » — deux déclarations qui ont soulevé les applaudissements de la salle. Pendant ce temps, Charlie Kirk, dont le corps était encore chaud, dont les obsèques nationales se déroulaient au même moment à Washington, ne méritait même pas une seconde de silence. Cette indifférence calculée révèle l’ampleur de la haine idéologique qui consume Hollywood : un homme peut crever s’il a eu le malheur de penser différemment, mais une cause lointaine et fashionable mobilise immédiatement toutes les consciences bien-pensantes.

L’assassinat ignoré : cinq jours de silence calculé

Charlie Kirk avait été exécuté le 10 septembre 2025 sur le campus d’Utah Valley University, une balle de calibre .308 tirée depuis 130 mètres de distance par Tyler Robinson, un activiste de gauche radicalisé de 22 ans. Cette mort violente avait provoqué une onde de choc dans l’Amérique conservatrice, poussé Trump à décréter le drapeau en berne et déclenché une chasse à l’homme nationale. Cinq jours plus tard, lors de la plus grande soirée télévisée de l’industrie du divertissement, Kirk n’existait plus. Volatilisé. Effacé. Comme si cet homme n’avait jamais vécu, comme si son assassinat politique ne méritait même pas une pensée compatissante.

L’omission était d’autant plus révoltante que l’émission se déroulait exactement au même moment que les obsèques nationales de Kirk à Washington, où des milliers d’Américains rendaient un dernier hommage à cet homme fauché dans la fleur de l’âge. Pendant que sa veuve Erika pleurait devant le cercueil de son mari, Hollywood fêtait ses propres gloires en tournant délibérément le dos à cette tragédie américaine. Cette synchronisation macabre révélait toute la cruauté de l’élite culturelle : capable d’organiser des minutes de silence pour George Floyd ou de consacrer des segments entiers aux victimes du Covid, mais sourde et aveugle quand la victime ne correspond pas à leurs préjugés politiques.

Gaza omnipresent, l’Amérique absente

Pendant que Charlie Kirk sombrait dans l’oubli hollywoodien, Gaza monopolisait l’attention et l’émotion des stars. Javier Bardem, keffiyeh au cou et indignation dans la voix, dénonçait le « génocide » israélien devant les caméras du monde entier. Megan Stalter exhibait fièrement son sac marqué « CEASEFIRE ! » sur le tapis rouge. Des dizaines de célébrités arboraient des pins « Artists4Ceasefire » comme des décorations militaires. Cette mobilisation massive pour une cause lointaine contrastait violemment avec leur indifférence totale pour un drame survenu sur leur propre territoire, dans leur propre pays, contre l’un de leurs propres concitoyens.

L’hypocrisie révélée : quand la géographie dicte l’empathie

L’ironie de cette situation dépassait l’entendement : Hollywood se mobilisait massivement contre une supposée violence à Gaza tout en ignorant superbement une violence réelle et documentée sur le sol américain. Ces mêmes stars qui versaient des larmes de crocodile sur les « innocents palestiniens » ne trouvaient pas une once de compassion pour Charlie Kirk, père de famille américain tué pour ses opinions politiques. Cette géographie sélective de l’empathie révélait que leur indignation n’avait rien de moral et tout d’idéologique — ils ne défendaient pas des victimes, ils défendaient leur vision du monde contre toute remise en cause.

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