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Mardi 17 septembre 2025, l’inimaginable s’est produit. Barack Obama — l’homme du consensus, l’ancien président symbole de l’unité américaine — s’est dressé devant une foule pennsylvanienne pour prononcer les mots les plus terrifiants de l’histoire politique récente : «crise politique sans précédent». Quand Obama alerte sur l’effondrement démocratique, c’est que l’Amérique a franchi un point de non-retour. L’assassinat de Charlie Kirk n’était qu’une étincelle. Aujourd’hui, le brasier consume tout sur son passage — et même les voix les plus mesurées reconnaissent enfin que le pays glisse inexorablement vers l’abîme.

Les chiffres glacent le sang : 26 millions d’Américains soutiennent l’usage de la force pour empêcher Trump de gouverner, tandis que 18 millions approuvent la violence pour le maintenir au pouvoir. Plus de 33% des citoyens se disent désormais justifiés d’user de violence pour atteindre leurs objectifs politiques — c’est le triple d’il y a trois ans. L’Amérique ne débat plus, elle s’arme. Elle ne négocie plus, elle s’entretue. Le pays le plus puissant du monde devient un champ de bataille où chaque camp considère l’autre comme une menace existentielle à éliminer.

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