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Raison 4 : Marjorie Taylor Greene dit que ça a «ripped apart MAGA»

Marjorie Taylor Greene — l’une des plus fidèles de Trump — s’est levée devant les caméras et elle a dit : «Ceci a été une des choses les plus destructrices pour MAGA». Elle a dit qu’elle s’est battue pour Trump pendant six ans. Qu’elle a donné sa loyauté «gratuitement». Et qu’il l’a appelée «traître». Pour avoir refusé de retirer son nom de la pétition pour forcer le vote. Trump a critiqué ses alliés les plus fidèles. Il les a harcelés. Il a envoyé des gens à la Maison-Blanche pour les convaincre. Et quand ils ont refusé — il les a traités de traîtres. C’est pas de la unité de parti. C’est de la vendetta.

Greene qui dit que ça a ripped MAGA apart — c’est la personne la plus loyale de Trump. Si elle dit que c’est destructeur, c’est destructeur. Et Trump, au lieu d’écouter, a doublé vers le bas. Il a attaqué. C’est un leader qui perd son contrôle.

Raison 5 : Thomas Massie dit que Trump était en couverture — et il a preuves

Thomas Massie — le républicain qui a menné l’effort pour forcer le vote — dit clairement que Trump était en couverture. Couverture de quoi? De la vérité. Massie dit que Trump était l’une des trois choses qui s’opposaient à la divulgation. Avec le FBI. Avec le Procureur général. Avec le Speaker de la Chambre. Trump était actvement — personellement — combattant la transparence. Et maintenant, il prétend que c’était sa volonté. Que c’est lui qui a gagné. Que c’est une victoire GOP. Non. C’est une défaite imposée à Trump par ses propres alliés.

Massie est un conservateur dur. Ce n’est pas un RINO ou un anti-Trump guy. C’est un alliée du mouvement MAGA. Et même lui dit publiquement que Trump était en couverture. Ça veut dire que Trump a vraiment essayé d’étouffer ça.

Raison 6 : Le White House Situation Room meeting — Trump intimide Boebert

Trump a appelé Lauren Boebert au White House Situation Room. C’est pas une simple réunion. C’est l’endroit le plus secret de Washington. C’est où se discutent les opérations militaires. Et Trump l’y a amenée pour la convaincre de retirer son nom de la pétition. Pour l’intimider. Pour l’effrayer. C’est du leadership fondé sur la peur. C’est un leader qui utilise tous les outils du pouvoir — l’intimité de la Situation Room, l’impression de sécurité nationale — pour faire taire une alliée potentielle. Et ça a échoué. Boebert a refusé.

Le fait que Trump ait amené Boebert à la Situation Room pour ça — c’est une escalade impressionnante de manipulation. C’est pas une conversation normale. C’est une intimidation délibérée. Et quand ça a échoué — Trump a dû réaliser qu’il avait perdu.

Source : RawStory

Ce contenu a été créé avec l'aide de l'IA.

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