Les 28 points qui ressemblent à un wishlist russe
D’abord il faut comprendre ce qu’on parle. Vingt-huit points. Un plan de paix pour l’Ukraine. Trump dit qu’il y a travaillé un mois. Avec son envoyé spécial Steve Witkoff. Avec Marco Rubio. Avec—prétendument—l’Ukraine et la Russie. Et il a demandé à Zelensky d’accepter avant Thanksgiving. Jeudi. C’est tout.
Et qu’est-ce qui est dans ces 28 points ? L’Ukraine renonce à la Crimée. L’Ukraine renonce à Luhansk. L’Ukraine renonce à Donetsk. Ces terres vont à la Russie. De facto. Et le monde reconnaît ça. Et l’Ukraine reçoit quoi en échange ? Des « garanties de sécurité ». Pas l’OTAN. Pas une garantie militaire réelle. Juste des promesses. Américaines. De Trump.
Et puis il y a plus. L’Ukraine rétrécit son armée. Beaucoup. L’Ukraine renonce à toute aspiration à rejoindre l’OTAN. Pour toujours. Et la Russie ? La Russie reçoit 100 milliards de dollars en actifs gelés dégelés. Et elle se réintègre à l’économie mondiale. Et les sanctions s’arrêtent.
Donc voilà. L’Ukraine donne. La Russie reçoit. Et c’est censé être la paix. Et Mitch McConnell regarde ça et dit : « Poutine a passé l’année entière à essayer de jouer Trump pour un imbécile. » Il a raison.
Quand j’ai lu le détail de ce plan, j’ai compris pourquoi les républicains crient. C’est pas de la diplomatie. C’est de la reddition. C’est dire à Zelensky : tu perds. Accepte. Et Trump va le lui faire accepter. Par la force. En disant que c’est pour la paix. C’est—comment dire—machiavélique.
Ce que Rubio a dit que personne ne devait entendre
Et puis arrive le moment révélateur. Samedi. Les sénateurs rencontrent Marco Rubio. Le secrétaire d’État. Et Rubio leur dit quelque chose. Il leur dit : ce n’est pas le plan de Trump. C’est une liste de souhaits des Russes.
Imagine. Le secrétaire d’État américain dit aux sénateurs que le plan que Trump promeut—que Trump menace d’imposer à l’Ukraine—c’est vraiment juste ce que la Russie veut. Et que le Plan américain—le vrai plan américain—c’est différent. C’est plus équitable. Mais Trump le refuse. Trump veut la liste de souhaits russe. Pas le plan américain.
Et Mike Rounds—un sénateur républicain modéré—il dit clairement : « Ça ressemble comme c’était écrit par les Russes. » Pas « une partie ressemble ». Ça. Ça ressemble comme écrit par Russie. C’est quoi cette clarté ? C’est la mort d’une illusion. C’est le moment où les républicains admettent : Trump favorise la Russie.
Et Rubio—lui qui a passé sa vie à combattre la Russie—maintenant il dit que ce plan c’est un wishlist russe ? C’est comme regarder une tragédie grecque. Le homme qui était censé être le faucon de la Russie. Et maintenant il doit avouer que Trump abandonne. Et il doit le dire aux sénateurs parce que personne ne peut le nier plus longtemps.
La fracture du GOP - Quand le parti se révolte contre son leader
McConnell : le rappel à l’ordre du vieux garde
Et puis vient Mitch McConnell. L’ancien leader du Sénat. L’homme qui a soutenu Trump pendant quatre ans. Et il dit quelque chose de brutal. « Poutine a passé l’année entière à essayer de jouer Trump pour un imbécile. » Pas « je suis préoccupé ». Pas « je crains que ». Poutine joue Trump. Trump ne comprend pas.
Et McConnell continue : « Si les officiels de l’administration sont plus préoccupés par apaiser Poutine que par sécuriser une vraie paix, alors le Président devrait trouver de nouveaux conseillers. » Trouver de nouveaux conseillers. C’est un euphémisme pour : ton équipe te laisse tomber. Ils te font perdre. Ils te humilient.
Et puis McConnell l’achève : « Récompenser la barbarie russe serait désastreux pour les intérêts américains. » Barbarie. C’est le mot qu’on utilise pour les dictateurs. Pour les atrocités. Et McConnell dit que c’est ce que Trump va faire. Il va récompenser la barbarie russes.
McConnell était le leader républicain. Et maintenant il attaque publiquement Trump. C’est un changement existentiel. C’est dire : j’ai soutenu cet homme. Et maintenant je dois reconnaître qu’il aide nos ennemis. Et c’est humiliant pour lui. Et terrifiant pour Trump. Parce que si McConnell craque, d’autres vont craquer aussi.
Les faucons républicains qui se réveillent
Et puis il y a les autres. Roger Wicker. Qui préside la Commission des Forces armées. Il dit clairement : Ukraine ne peut pas être forcée de céder ses terres à Poutine. L’Ukraine doit décider de la taille de son armée. Et aucune assurance à Poutine ne devrait récompenser ses actions mauvaises.
Et Don Bacon—qui est respecté des deux côtés du Congrès—il dit carrément : « Cela ressemble comme la Russie l’a écrit. » Pas de nuance. Pas de diplomatique. Cela ressemble russe. C’est russe.
Et même les démocrates—qui devraient critiquer Trump automatiquement—ils crient trop. Chuck Schumer dit que le plan donne à Poutine « essentiellement tout ce qu’il veut ». Angus King dit que c’est une récompense de l’agression. Et ça—ça quand même les démocrates doivent joindre—c’est quand même le consensus total : ce plan c’est de la capitulation.
Et ce qui tue vraiment c’est que Trump—un homme qui a fondé sa politique étrangère sur être « dur avec la Russie »—se trouve à faire exactement l’inverse. À aider la Russie. À favoriser Poutine. À demander à l’Ukraine de se rendre. C’est l’inversion complète. Et personne dans le GOP ne sait comment le gérer.
Zelensky sous le pistolet - Chantage diplomatique en direct
Une deadline impossible : jeudi ou continue à te battre
Et pendant ce temps, Zelensky regarde ça. Et Trump dit clairement : tu as jusqu’à jeudi pour accepter. Jeudi. C’est dans deux jours. Et si tu refuses—tu peux continuer à combattre tout seul. C’est pas une offre. C’est du chantage.
Et Zelensky dit dimanche quelque chose d’honnête. « La pression sur l’Ukraine est au maximum. L’Ukraine doit bientôt choisir : sacrifier sa dignité ou risquer de perdre le partenariat américain vital. » C’est l’aveu d’une arme utilisée contre lui. Ce n’est pas de la diplomatie. C’est de la coercion.
Alors Zelensky—ce homme qui a combattu la Russie pendant trois ans. Qui a perdu des terres. Qui a vu ses gens mourir. Il regarde Trump et dit : tu me demandes de renoncer à quoi ? À mon armée ? À mon pays ? À mon futur ? Et Trump dit : oui. Et ça—ça c’est ce qui casse les républicains.
Zelensky est devenu pour beaucoup de républicains une figure de courage. Le président qui n’a pas fui. Qui est resté. Qui s’est battu. Et maintenant Trump lui demande de s’effondrer. Et les républicains qui voyaient Zelensky comme un symbole de résistance—ils ne peuvent pas accepter ça. C’est moralement intolérable.
Trump implosive face au vide
Et Trump regarde ça et flanche. Dimanche il dit que ce n’est pas son offre finale. Puis il dit que oui c’est final. Puis il dit que Zelensky peut « continuer à combattre de tout son cœur ». Puis il dit que les choses « progressent bien ». Puis il dit que jeudi c’est juste une suggestion.
Trump n’a pas de fil directeur. Il n’a pas de logique. Il dit une chose. Les critiques crient. Il dit le contraire. Et vice-versa. Et pendant ce temps—le plan meurt. Les sénateurs le rejettent. Zelensky refuse. Putin attend en riant. Et Trump—Trump ne sait pas quoi faire.
C’est fascinant de regarder Trump imploser en temps réel. Il a pensé qu’il pouvait imposer sa volonté. Qu’il avait le pouvoir. Qu’Ukraine plierait. Et puis le GOP—sa propre parti—le contredit publiquement. Et Trump vacille. Flanche. Implose. Et tout le monde voit.
Conclusion - Le plan meurt mais les dommages restent
Alors voilà le résumé. Trump propose un plan. Le GOP dit non. Les sénateurs disent non. Zelensky dit non. Et Trump—qui avait dit que c’était pour jeudi—regarde ça mourir. Et ça—ça c’est peut-être sa plus grande humiliation.
Mais le vrai problème c’est ça n’a jamais dû arriver. Le plan n’aurait jamais dû être proposé. Parce que c’était un plan russe. Parce que c’était une capitulation. Parce que c’était contraire aux intérêts américains. Et Trump—le même Trump qui promeut « l’Amérique d’abord »—propose une plan qui fait gagner la Russie.
Et maintenant le GOP est fracturé. Les relations entre Trump et McConnell sont mortes. La relation entre Trump et Zelensky est endommagée. Et le monde regarde et voit : l’Amérique n’est pas unie. Le leader n’a pas la mainmise. Et si tu es un allié comme l’Ukraine—tu es seul. Et si tu es un ennemi comme la Russie—tu dois juste attendre que Trump implode. Et il va. Parce que son plan—ce plan qu’il pensait triomphal—c’est écrit par la Russie. Évidemment.
Source : MS
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Chaques jours qui passent met en lumière la dure réalité qui déconstruit les capacités à diriger de cet homme qui se prétend intelligent mais qui n’est en fait totalement inapte voir d’une ignorance crasse, d’une arrogance incroyable, en fait il n’ est pas a sa place nulle part, le tout enveloppé dans le mensonge continuel ( mythomane délirant). Par contre sa capacité unique c’est le business et la magouille pour s’enrichir sur le dos des américains qui peinent à vivre sinon survivre dans leur quotidien. Rares sont ceux qui osent le contester surtout dans son parti préférant se taire plutôt que de perdre des mandats électifs. Ils sont tous corrompus. Le parti républicain n’existe plus. Il faut dire parti trumpiste. Enfin il faut souligner un programme ( ?) totalement décousu sans vision à long terme où fleurissent les pires théories et autres inepties ( médecine / vaccins). Sincèrement que soit mis fin à cette catastrophe ambulante qu’est trump en novembre 2026 lors des élections des midterms.