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Article 5 — une promesse qui tremble

Article 5 de l’OTAN. Une phrase. Une seule. «Une attaque contre l’un est une attaque contre tous.» Ce texte a tenu l’alliance pendant quatre-vingts ans. Mais en mars 2025, Trump s’est assis à l’Oval Office et a dit: « Je ne suis pas sûr qu’ils viendront nous protéger. » Laisser cela résonner. Un président américain qui doute publiquement du texte fondateur de l’alliance. Trump a poursuivi: « Si vous ne dépensez pas assez, nous ne vous défendrons pas. » Traduction: l’Article 5 n’est pas automatique. C’est conditionnel. C’est négociable. C’est une promesse qui peut s’évaporer si vous ne payz pas le prix juste. En juin 2025, lors du sommet de La Haye, Trump a enfoncé le clou. Il a exigé que chaque nation dépense 5 pour cent de son PIB en défense. Cinq pour cent! Un saut abrupt depuis les deux pour cent que tout le monde dépensait. Puis Trump a montré des messages de Mark Rutte, le secrétaire général de l’OTAN, le félicitant. Sur les réseaux sociaux. Comme un trophée. L’humiliation était le point.

Article 5 qui tremble. C’est une phrase qui a survécu à la Guerre froide. Et maintenant elle dépend du mood du jour de Trump. Comment dormir sous ce parapluie-là?

Les tarifs — l’arme secrète contre l’Europe

Juillet 2025. Trump dit: «Trente pour cent de tarifs sur les exports européennes. À moins que…» Le «à moins que» était le cœur du message. À moins que l’UE ne fasse ce qu’il demande. À moins qu’elle n’accepte les termes commerciaux qu’il impose. À moins qu’elle ne promette de dépenser plus en défense. Soudain, la sécurité militaire et les tarifs commerciaux deviennent une seule et même monnaie. Trump a fait le lien explicite. Macron a appelé Merz. Merz a appelé Von der Leyen. Et l’UE a craqué. Elle a accepté un accord à quinze pour cent de tarifs. Elle a promis 750 milliards d’euros d’achats énergétiques américains. Elle a accepté d’acheter plus d’armes. Tout cela pour garder un doute — juste un doute — que les États-Unis pourraient encore la défendre. C’est de l’extorsion. C’est du chantage. Mais c’est aussi la nouvelle réalité. Les tarifs sont maintenant liés à la sécurité. Refuser les tarifs? Tu perds la protection.

Les tarifs comme arme. C’est génial. Horrible. Mais génial. Les États-Unis transforment le commerce en pouvoir géopolitique direct. Et l’Europe regarde, paralysée.

Source : TASS

Ce contenu a été créé avec l'aide de l'IA.

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