C’est l’histoire la plus folle et virale des faits divers américains : une femme du Michigan condamnée pour le meurtre de son mari… après avoir été « dénoncée » par leur propre perroquet ! Oui, vous avez bien lu : un oiseau bavard, devenu star des réseaux, a joué un rôle clé dans l’enquête, bouleversant la police, la justice et l’opinion publique. Prêt à plonger dans ce thriller digne d’un film ? Accrochez-vous, cette affaire est unique au monde !
Le drame : un meurtre maquillé en double homicide

Cinq balles, une scène de crime glaçante
Tout commence en mai 2015, à Ensley Township, Michigan. Martin Duram est retrouvé mort, criblé de cinq balles dans la chambre conjugale. À ses côtés, sa femme Glenna Duram est gravement blessée à la tête, après une tentative de suicide ratée. Les enquêteurs envisagent d’abord un double homicide, mais très vite, les soupçons se portent sur Glenna, dont le comportement intrigue la police.
Le perroquet Bud, témoin inattendu et star du web

« Ne tire pas ! » : les mots qui font basculer l’enquête
L’élément le plus incroyable de l’affaire ? Le perroquet du couple, Bud, un gris du Gabon célèbre pour son talent d’imitateur. Après la mort de Martin, Bud est recueilli par l’ex-femme de la victime. Rapidement, l’oiseau se met à répéter, en imitant la voix de Martin : « Ne tire pas, putain ! » et « Ne tire pas ! ». Ces phrases, mimant une violente dispute, font froid dans le dos et laissent penser que Bud a assisté à la scène du crime.
Quand la science valide le témoignage animal

Des spécialistes bluffés par l’intelligence de Bud
Des experts confirment que Bud reproduit bien une altercation, avec deux voix distinctes, celle de Martin et celle de Glenna. Si la vidéo du perroquet n’a pas été utilisée comme preuve principale au procès, son comportement a orienté l’enquête et convaincu la famille de la victime de la culpabilité de Glenna. Les médias s’emparent de l’affaire, et Bud devient un symbole viral de la justice inattendue.
Un procès sous haute tension et un verdict implacable

Glenna Duram condamnée à la prison à vie
En juillet 2017, après huit heures de délibération, le jury du Michigan reconnaît Glenna Duram coupable de meurtre au premier degré. Malgré ses dénégations, la justice estime que les éléments à charge, dont le témoignage indirect du perroquet, sont accablants. Glenna est condamnée à la prison à vie, tandis que Bud, désormais mascotte médiatique, coule des jours paisibles chez l’ex-femme de Martin.
Un perroquet, héros inattendu de la justice

Quand la nature s’invite dans les enquêtes criminelles
Jamais un animal de compagnie n’avait autant pesé dans une affaire criminelle ! Si Bud n’a pas témoigné à la barre, sa capacité à répéter la dispute mortelle a marqué les esprits et influencé l’opinion publique. Cette histoire relance le débat sur l’intelligence des perroquets, capables de mémoriser des centaines de mots et de reproduire des conversations entières. Un véritable « témoin » à plumes qui a fait trembler la justice américaine.
Une affaire qui fascine et interroge

Entre fascination, viralité et questions éthiques
L’affaire Duram restera dans l’histoire comme l’un des cas les plus insolites du crime moderne. Elle pose aussi la question : un animal peut-il vraiment être témoin ? Si la justice n’a pas retenu la preuve « Bud » officiellement, l’oiseau a sans conteste pesé dans la balance. Les internautes, eux, en ont fait un héros, partageant ses vidéos par millions et saluant sa « justice animale ».
Conclusion

Quand un perroquet devient la clé d’un meurtre, la réalité dépasse la fiction ! L’histoire de Bud et du couple Duram rappelle que la vérité peut surgir des endroits les plus inattendus… et que la justice, parfois, a des ailes. Une affaire virale qui prouve que, même dans les drames les plus sombres, la nature peut jouer un rôle de justicier surprenant.