Aller au contenu

Imaginez, une table immense, Alaska, août, Trump en costard tape du poing, Poutine affûte son regard, et — surprise — Volodymyr Zelensky absent. Ce scénario improbable n’est pas une dystopie, c’est l’actualité brûlante. Peut-on vraiment négocier la paix entre la Russie et l’Ukraine sans impliquer la figure présidentielle incontournable du pays agressé ? Question qui pique, débat qui divise, et doute qui suinte. Parce que chaque conflit international s’abreuve des paradoxes, dissèque les codes établis et réinvente la diplomatie au degré des intérêts, des peurs et des ambitions. Ici, nul besoin d’un manuel de négociation classique : la crise ukrainienne éclaire la réalité crue de la dissociation des logiques institutionnelles — et de la difficulté à inventer une nouvelle grammaire du dialogue. Mais alors, pourquoi et comment parle-t-on de paix, si celui qui doit la signer n’est même pas là ? Intrigue ou impasse, à vous de juger, et à nous d’explorer.

facebook icon twitter icon linkedin icon
Copié!

Commentaires

0 0 votes
Évaluation de l'article
Subscribe
Notify of
guest
0 Commentaires
Newest
Oldest Most Voted
Inline Feedbacks
View all comments

Articles reliés

More Content