Aller au contenu

La guerre en Ukraine s’épuise, se prolonge, se dévore elle-même. Les champs de bataille s’embrasent, les négociations se brisent, les dirigeants répètent inlassablement les mêmes phrases vides d’issue. Mais voilà que surgit une idée insolente, presque irrationnelle : et si une percée diplomatique passait, non pas par les chefs de guerre eux-mêmes, mais par deux femmes symboles — Melania Trump et Olena Zelenska ? Deux premières dames au style radicalement différent, deux voix féminines capables de contourner la brutalité masculine, deux images médiatiques saturées d’attention qui pourraient briser l’enlisement. Une hypothèse audacieuse, mais dans ce chaos, chaque brèche mérite d’être explorée.

Car il faut le dire sans détour : les logiques brutales des diplomaties traditionnelles échouent. Les ego des chefs d’État se percutent comme des blindés dans un champ de ruines. Rien ne cède, rien ne fléchit. Et dans cette impasse, les figures plus douces, plus subtiles, plus inattendues, peuvent devenir des armes silencieuses. Mélanger soft power, image publique et influence intime, c’est risquer l’improbable… mais l’improbable fait parfois l’Histoire.

facebook icon twitter icon linkedin icon
Copié!

Commentaires

0 0 votes
Évaluation de l'article
Subscribe
Notify of
guest
0 Commentaires
Newest
Oldest Most Voted
Inline Feedbacks
View all comments
More Content