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L’annonce est tombée comme une balle perdue dans l’arène bouillante des États-Unis : l’ancien président Donald Trump, en pleine reconquête médiatique et politique, a confirmé que le tirage au sort de la Coupe du monde 2026 se déroulera en décembre, et pas n’importe où… à Washington. Plus qu’un simple protocole sportif, ce choix envoie un signal brutal, presque guerrier. La capitale américaine, épicentre du pouvoir, devient l’hôte symbolique de ce rendez-vous planétaire qui décidera du destin de dizaines de nations. Ce n’est plus seulement du football : c’est de la géopolitique grimée en cérémonie festive.

Imaginer le plus grand événement sportif du monde, co-organisé par les États-Unis, le Canada et le Mexique, voir son tirage s’inscrire dans le cœur même de Washington, sous l’œil et l’ombre de Trump, c’est déjà un spectacle en soi. Tout se mélange : puissance, spectacle, diplomatie, vanité. Et derrière le rideau, une stratégie implacable : faire du ballon rond une arme de légitimation et un tremplin électoral. Car non, il n’y a jamais rien d’innocent dans de telles annonces. C’est un jeu à deux niveaux : sur le gazon et dans les coulisses.

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