L’escalator de la folie
Ce 23 septembre 2025, devant l’assemblée générale de l’ONU, Donald Trump explose littéralement contre… un escalator en panne. Oui, vous avez bien lu. Le président des États-Unis, celui qui détient les codes nucléaires, transforme une banale panne mécanique en complot international. Il fulmine, accuse, promet des sanctions. Contre un escalator. Cette scène, loin d’être anecdotique, révèle l’état mental terrifiant d’un homme qui tient entre ses mains le destin de l’humanité. Quand la colère devient pathologique, quand la frustration se mue en délire paranoïaque, la question n’est plus de savoir si Donald Trump est dangereux — elle est de comprendre à quel point nous sommes tous en sursis.
Les signaux d’alarme ignorés
Depuis son retour au pouvoir en janvier 2025, les épisodes inquiétants se multiplient avec une fréquence alarmante. En septembre, des rumeurs sur sa santé mentale agitent les couloirs de Washington pendant plusieurs jours, jusqu’à ce qu’il réapparaisse en niant tout problème. Mais les experts ne s’y trompent pas : discours incohérents, blagues grossières à des moments cruciaux, jurons incessants, colères disproportionnées. Les psychiatres américains qui, en 2017 déjà, avaient publié « The Dangerous Case of Donald Trump », semblent avoir été prophétiques. Leurs avertissements sur le danger clair et présent que représentait sa santé mentale résonnent aujourd’hui comme un sinistre écho.
Une nation sous hypnose collective
L’Amérique vit aujourd’hui sous l’emprise d’un dirigeant dont l’état psychologique inquiète les professionnels de la santé mentale du monde entier. Entre ses accès de rage incontrôlée contre Netanyahou qu’il accuse de « se moquer de lui », ses menaces répétées contre ses adversaires politiques qu’il veut poursuivre en justice, et sa politique commerciale erratique qui plonge l’économie mondiale dans le chaos, Trump dessine le portrait d’un homme aux prises avec ses propres démons. Mais contrairement à un malade mental ordinaire, celui-ci dispose du pouvoir de détruire le monde. Et personne ne semble capable de l’arrêter.
Les preuves accablantes du déclin mental

Les explosions de colère pathologique
Les accès de rage de Trump ne relèvent plus de la simple mauvaise humeur présidentielle. Ils trahissent une incapacité chronique à gérer la frustration, symptôme caractéristique de troubles neurocognitifs avancés. L’incident de l’escalator à l’ONU n’est que la partie émergée de l’iceberg. En septembre, lors de ses échanges avec Netanyahou, le président américain explose littéralement, déclarant à ses conseillers que le Premier ministre israélien « se moque de lui ». Cette paranoïa grandissante, cette tendance à tout interpréter comme une attaque personnelle, révèle un esprit en proie à des mécanismes de défense primitifs.
La logique du complot permanent
Trump ne voit plus la réalité qu’à travers le prisme déformant de la persécution imaginaire. Chaque contrariété devient un sabotage, chaque obstacle une machination. Quand il évoque devant Erdogan des « élections truquées » sans aucun contexte, semant la confusion même dans son propre entourage, nous assistons à la manifestation d’une pensée délirante qui s’installe. Les professionnels de la santé mentale observent chez lui ce qu’ils appellent un « détournement émotionnel » : le circuit rationnel est court-circuité par l’émotion brute, l’agressivité prend le contrôle.
L’incohérence grandissante des discours
Ses allocutions publiques révèlent une désorganisation croissante de la pensée. À l’ONU, il se lance dans un monologue narcissique d’une heure — alors que le règlement limite les interventions à quinze minutes — s’auto-congratulant d’avoir « résolu sept guerres » en sept mois. Une affirmation que même ses propres services démentent en privé. Cette tendance à la fabulation grandiose, cette nécessité maladive d’être au centre de l’attention, même par le mensonge, caractérisent ce que les psychiatres appellent le narcissisme malfaisant.
La guerre commerciale : symptôme d'un esprit chaotique

L’anarchie tarifaire comme révélateur
La politique commerciale erratique de Trump n’est pas qu’une stratégie économique discutable : elle révèle un fonctionnement mental dysfonctionnel. En avril 2025, il impose brutalement des surtaxes de 104% sur les produits chinois, plongeant l’économie mondiale dans la panique. Puis, quelques semaines plus tard, il annonce de nouveaux tarifs « allant jusqu’à 100% » sur les médicaments, sans aucune cohérence apparente. Cette impulsivité destructrice, cette incapacité à anticiper les conséquences de ses actes, témoignent d’un déficit de planification caractéristique des troubles neurocognitifs.
Le mépris des conséquences humaines
Quand les analystes d’UBS calculent qu’un iPhone pourrait passer de 1199 à 1549 dollars, Trump ricane. Quand les corbillards coûtent 40 000 dollars de plus à cause de ses tarifs, il hausse les épaules. Cette indifférence totale aux souffrances qu’il inflige révèle une empathie défaillante, un des marqueurs les plus inquiétants de la psychopathie. Les experts en psychologie politique soulignent que ses discours sont devenus significativement plus négatifs et agressifs depuis 2017, traduisant une escalade dans la violence verbale qui préfigure souvent le passage à l’acte.
L’isolement international programmé
Ses « partenaires commerciaux étrangers » — pour reprendre l’expression diplomatique — ont compris qu’il n’y avait « rien à attendre des États-Unis tant qu’il sera président ». Cette mise en quarantaine de l’Amérique n’est pas le fruit d’une stratégie réfléchie, mais la conséquence logique d’un comportement pathologique. Trump transforme systématiquement chaque négociation en affrontement personnel, chaque désaccord en déclaration de guerre. Sa personnalité narcissique ne tolère ni la contradiction ni le compromis.
La haine comme politique d'État

L’instrumentalisation de la violence
Depuis l’assassinat de Charlie Kirk le 10 septembre, Trump a transformé le deuil en chasse aux sorcières systématique. Il ne se contente pas de pleurer son allié : il lance ses militants dans une traque impitoyable contre tous ceux qui refusent de partager son affliction. Des pompiers, des enseignants, des employés de compagnies aériennes sont licenciés pour avoir exprimé leur « manque de compassion ». Cette utilisation politique de la mort, cette exploitation de la tragédie pour éliminer ses opposants, révèle un cynisme pathologique qui dépasse l’entendement.
L’appel aux instincts les plus bas
Trump a « réussi à fédérer des publics très divers en rendant la haine intersectionnelle », analysent les spécialistes du masculinisme. Il cible tour à tour les immigrants latino-américains qu’il assimile à des « animaux », les personnes transgenres accusées de « délire », les femmes jugées « trop puissantes ». Cette stratégie de la division n’est pas qu’un calcul électoral : elle traduit une vision du monde binaire, primitive, où tout conflit se résout par l’écrasement de l’adversaire. Les psychiatres y reconnaissent les mécanismes de défense d’un psychisme fragile qui ne supporte pas la complexité du réel.
La normalisation de l’extrémisme
Quand Trump facilite le retour d’Andrew Tate, figure du masculinisme accusé de viols et de trafic d’êtres humains, il envoie un signal clair : la misogynie violente est désormais acceptable au plus haut niveau de l’État. Cette complaisance avec les extrémistes n’est pas fortuite : elle révèle une affinité profonde avec la violence, une fascination malsaine pour ceux qui franchissent les limites. Trump ne gouverne plus, il libère les pulsions destructrices de l’Amérique profonde.
L'entourage : complices ou otages ?

Un gouvernement de charlatans
L’administration Trump ressemble à un asile d’aliénés dirigé par les pensionnaires. RFK Jr. à la Santé prône une vision qui « est à la médecine ce que l’astrologie est à l’astronomie ». Hegseth, « animateur télé alcoolique » selon ses détracteurs, dirige la Défense. Patel, qualifié de « bouffon » par la presse, est à la tête du FBI. Cette accumulation d’incompétents n’est pas le fruit du hasard : elle révèle l’incapacité de Trump à s’entourer de personnes compétentes, sa peur viscérale d’être contredit par plus intelligent que lui.
L’isolation progressive des modérés
Même Elon Musk, pourtant allié de la première heure, a fini par claquer la porte de l’administration. Son départ illustre l’impossibilité pour toute personnalité sensée de collaborer durablement avec Trump. Ceux qui restent sont soit des fanatiques, soit des opportunistes prêts à tout pour conserver leur poste. Cette sélection naturelle vers le pire crée un environnement où plus personne n’ose contredire le président, alimentant ses délires de toute-puissance.
La peur comme mode de management
Les menaces constantes contre ses adversaires — Adam Schiff, Letitia James, James Comey — ne visent pas qu’à satisfaire sa soif de vengeance. Elles instaurent un climat de terreur qui paralyse toute opposition. Quand il exige publiquement des poursuites judiciaires contre ses ennemis politiques, Trump franchit une ligne rouge démocratique majeure. Cette confusion volontaire entre pouvoir exécutif et judiciaire révèle une conception dictatoriale du pouvoir, symptôme typique des personnalités narcissiques pathologiques.
Les conséquences internationales catastrophiques

L’Amérique paria diplomatique
Sur la scène internationale, Trump fait figure d’élément perturbateur imprévisible. Ses accès de colère contre Netanyahou, ses menaces erratiques contre la Russie, ses délires sur les « élections truquées » évoqués devant Erdogan : chaque rencontre diplomatique devient un exercice de gestion de crise. Les dirigeants mondiaux ne traitent plus avec un président américain, mais avec un malade mental armé de l’arsenal nucléaire le plus puissant de la planète.
La fin de la crédibilité américaine
Quand Trump se vante à l’ONU d’avoir « résolu sept guerres en sept mois » — affirmation que même ses propres services diplomatiques démentent —, il détruit méthodiquement ce qui restait du soft power américain. Cette tendance compulsive au mensonge grandiose, cette incapacité à distinguer ses fantasmes de la réalité, fait de lui un interlocuteur impossible pour les autres nations. Comment négocier sérieusement avec quelqu’un qui transforme systématiquement les faits pour alimenter son ego démesuré ?
Le risque d’escalade militaire
Les psychiatres l’avaient prédit dès 2017 : Trump mettrait « le pays en grave danger de guerre en raison de ses traits pathologiques ». Cette prophétie prend aujourd’hui une résonance terrifiante. Ses réactions impulsives, sa tendance à interpréter toute résistance comme une agression personnelle, son besoin maladif de prouver sa virilité par la force, créent un cocktail explosif. Un homme incapable de gérer un escalator en panne peut-il vraiment être responsable de décisions impliquant des millions de vies humaines ?
Le silence complice des institutions

La règle Goldwater, alibi de la lâcheté
L’Association américaine de psychiatrie continue de brandir la fameuse « règle Goldwater » pour justifier le silence de ses membres sur l’état mental de Trump. Cette règle, qui interdit aux psychiatres de diagnostiquer des personnalités publiques sans examen direct, devient un alibi commode pour éviter leurs responsabilités citoyennes. Combien de professionnels de la santé mentale se cachent derrière cette clause déontologique pour ne pas affronter l’évidence ? Quand la maison brûle, les pompiers invoquent-ils le règlement pour refuser d’intervenir ?
La presse dans le déni collectif
Les médias traditionnels, par peur d’être accusés de partialité, refusent d’aborder frontalement la question de la santé mentale présidentielle. Ils décrivent ses colères comme de simples « coups de gueule », ses mensonges comme des « inexactitudes », ses délires comme des « outrances rhétoriques ». Cette normalisation du pathologique, cette refus de nommer les choses, participe à la mise en danger collective. Quand un journal titre « Trump en colère contre un escalator » au lieu d’écrire « Le président montre des signes de décompensation psychologique », il devient complice de la folie ambiante.
Le Congrès aux abonnés absents
Pendant ce temps, les élus républicains regardent ailleurs. Ils savent, ils voient, ils entendent — mais ils se taisent. Cette omerta politique transforme les représentants du peuple en spectateurs passifs de la dérive autoritaire. Combien faudra-t-il d’escalators brisés, de colères pathologiques, de menaces dictatoriales avant qu’ils trouvent le courage d’invoquer le 25e amendement ? L’Histoire jugera sévèrement cette génération d’élus qui ont préféré leurs privilèges partisans à la sécurité de la nation.
Conclusion

L’urgence d’agir avant l’irréparable
Nous voici donc face à une évidence aussi terrifiante qu’indéniable : l’homme le plus puissant du monde souffre de troubles mentaux avérés qui menacent la survie de l’humanité. Ses accès de rage pathologique, ses délires paranoïaques, son incapacité chronique à distinguer la réalité de ses fantasmes ne relèvent plus de l’analyse politique classique. Ils appellent une intervention médicale d’urgence. Chaque jour qui passe sans action concrète nous rapproche un peu plus du point de non-retour. L’incident de l’escalator à l’ONU n’était pas une anecdote : c’était un signal d’alarme strident que nous ne pouvons plus ignorer.
Le réveil nécessaire des consciences
Il est temps que les Américains sortent de leur hypnose collective et regardent la réalité en face : leur président est malade. Dangereusement malade. Les psychiatres qui avaient tiré la sonnette d’alarme en 2017 n’étaient pas des opposants politiques déguisés, mais des professionnels conscients de leurs responsabilités. Leurs prédictions se réalisent sous nos yeux avec une précision effroyable. L’Histoire retiendra que nous avions les moyens de savoir, que nous avions été prévenus, et que nous avons choisi de fermer les yeux jusqu’au bout.
L’avenir suspendu à un fil
Aujourd’hui, le destin du monde dépend des pulsions incontrôlées d’un septuagénaire en pleine décompensation psychologique. Demain, ce pourrait être une guerre nucléaire déclenchée par un accès de colère, une crise économique mondiale provoquée par une décision impulsive, ou un effondrement démocratique orchestré par un esprit paranoïaque. Nous vivons sous la menace permanente d’un homme qui ne distingue plus ses névroses de la réalité. Cette épée de Damoclès psychologique suspendra-t-elle encore longtemps au-dessus de nos têtes ? La réponse appartient aux Américains — et à eux seuls. Mais le temps presse, et l’escalator de l’Histoire ne s’arrêtera pas pour attendre leur réveil.
je viens de lire cet énoncé qui fait vraiment peur un simplement des doigts et Trump peut détruire notre planète?