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Avril 2025 : l’approbation initiale du Net-Zero Framework par le Comité de protection du milieu marin

L’histoire de ce sabotage commence en avril 2025, lorsque le Comité de protection du milieu marin de l’Organisation maritime internationale avait approuvé le Net-Zero Framework lors de sa 83e session. Selon WR dans un article du 21 octobre 2025, le comité avait adopté ce nouveau cadre qui incluait des mesures de grande envergure pour accélérer la décarbonation du transport maritime international. Le vote avait été décisif : 63 États membres en faveur, 16 contre, selon Standing for Freedom le 20 octobre. Le cadre proposait un système de tarification du carbone à deux niveaux — 100 dollars par tonne métrique d’équivalent CO2 pour atteindre la conformité directe, et 380 dollars par tonne pour les navires dépassant les normes d’intensité de carburant selon l’Institute for Energy Research le 20 octobre. Selon l’Associated Press citée par la même source, si l’OMI avait adopté cette réglementation, cela aurait représenté la première taxe mondiale sur les émissions de gaz à effet de serre. La proposition devait entrer en vigueur à partir de 2027, avec un objectif d’atteindre zéro émission nette d’ici 2050. Les émissions de gaz à effet de serre du transport maritime représentent environ 3 pourcent des émissions totales mondiales selon la même source. Le système de conformité était essentiellement un programme de plafonnement et d’échange avec un système de tarification associé qui imposerait des frais pour chaque tonne de gaz à effet de serre émise par les navires au-dessus des limites autorisées. Il existait un niveau de conformité de base pour l’intensité autorisée de gaz à effet de serre des carburants, et un objectif de conformité directe plus strict nécessitant une réduction supplémentaire de l’intensité des gaz à effet de serre.

Les réglementations devaient établir une norme de carburant maritime sur la quantité d’émissions de gaz à effet de serre autorisée des carburants utilisés dans le transport maritime. La norme diminuerait avec le temps, la rendant plus difficile à atteindre. Des frais seraient imposés sur les gaz à effet de serre émis au-dessus de la norme. Selon l’Associated Press, les navires ayant des émissions inférieures à l’objectif de conformité gagneraient des unités excédentaires, ou crédits. Les navires avec des émissions au-dessus de la norme devraient acheter des crédits auprès de navires ayant des crédits ou auprès de l’OMI à 380 dollars par tonne métrique d’équivalent dioxyde de carbone. De plus, il y aurait une pénalité de 100 dollars par tonne métrique d’équivalent dioxyde de carbone pour atteindre la conformité directe. L’argent collecté irait dans un fonds soutenant les carburants et technologies à zéro émission ou quasi-zéro, particulièrement dans les pays en développement et pour les États insulaires selon RCINET le 14 octobre. L’OMI avait précisé cibler les navires océaniques de plus de 5 000 tonnes brutes, qui sont responsables d’environ 85 pourcent des émissions totales de CO2 du transport maritime international. L’organisation avait déclaré vouloir que l’industrie maritime atteigne la neutralité carbone d’ici ou vers 2050, avec des objectifs intermédiaires de réductions de 20 pourcent d’ici 2030 et 70 pourcent d’ici 2040. Ce cadre ambitieux bénéficiait d’un soutien remarquable de l’industrie maritime elle-même, créant un consensus rare entre régulateurs et acteurs économiques — un consensus que l’administration Trump allait méthodiquement détruire.

11 octobre 2025 : la lettre conjointe américaine de menaces sans précédent

Le 11 octobre 2025, dans une lettre conjointe au ton sans équivoque intitulée Intervenir pour défendre l’Amérique de la première taxe mondiale sur les émissions de carbone des Nations Unies selon Canada Caribbean Institute le 14 octobre, le secrétaire d’État Marco Rubio, le secrétaire à l’Énergie Chris Wright et le secrétaire aux Transports Sean Duffy ont averti leurs collègues membres de l’OMI qu’ils feraient mieux d’être avertis. La lettre qualifiait le vote prévu cette semaine sur l’adoption comme la première fois qu’une organisation des Nations Unies imposerait une taxe mondiale sur le carbone au monde selon la même source. L’administration rejetait sans équivoque cette proposition devant l’OMI et ne tolérerait aucune action qui augmenterait les coûts pour nos citoyens, nos fournisseurs d’énergie, nos compagnies maritimes et leurs clients, ou les touristes, affirmait le communiqué conjoint. Les impacts économiques de cette mesure pourraient être désastreux, certaines estimations prévoyant une augmentation des coûts du transport maritime mondial pouvant atteindre 10 pourcent ou plus. Nous vous demandons de nous rejoindre pour rejeter l’adoption du NZF lors de la réunion d’octobre et de travailler ensemble sur notre sécurité économique et énergétique collective, déclarait la lettre selon Canada Caribbean Institute. Les menaces spécifiques évoquées incluaient des restrictions de visas pour les membres d’équipage, des augmentations substantielles des frais portuaires, des procédures d’entretien obligatoires rallongées, et même le blocage potentiel de l’accès aux ports américains pour les navires battant pavillon de pays soutenant le cadre selon plusieurs sources dont Global News le 16 octobre et RCINET.

La liste des mesures de rétorsion ne s’arrêtait pas là. Washington avait également évoqué l’ouverture d’enquêtes et l’examen de règles potentielles pour lutter contre les pratiques anticoncurrentielles dans les pays signataires, l’imposition de sanctions commerciales excluant ces nations des contrats gouvernementaux américains — notamment pour les nouvelles infrastructures commerciales, les terminaux et les navires de gaz naturel liquéfié — et même des sanctions pécuniaires pour les navires de pays en faveur du NZF selon diverses sources. Plus radical encore, l’administration Trump avait menacé d’imposer des redevances portuaires supplémentaires aux navires possédés, gérés ou battant pavillon de pays soutenant le cadre, et d’évaluer des sanctions contre les responsables politiques qui promeuvent ces politiques climatiques selon The Energy Mix le 16 octobre. Le département d’État avait déclaré qu’il envisagerait des mesures telles que des prélèvements portuaires, des restrictions de visa, des sanctions commerciales et des sanctions contre des responsables selon Financial Post le 16 octobre. Il avait également précédemment mentionné les tarifs douaniers comme faisant partie des réponses potentielles, bien qu’il devienne incertain s’ils restaient sur la table. Cette déclaration de guerre économique, déguisée en défense des intérêts des consommateurs américains, constituait une tentative d’intimidation sans précédent dans l’histoire de la diplomatie climatique multilatérale. L’administration Trump ne se contentait pas de s’opposer au cadre — elle menaçait explicitement de punir économiquement tout pays qui oserait voter en sa faveur, transformant un vote sur la politique climatique en test de loyauté envers Washington.

16 octobre 2025 : Trump qualifie la taxe de Global Green New Scam Tax

Le président américain Donald Trump est intervenu personnellement dans le débat le 16 octobre 2025, intensifiant encore la pression sur les États membres de l’OMI. Dans un message publié sur sa plateforme Truth Social jeudi soir selon Global News le 16 octobre et CBC le 17 octobre, Trump a exhorté les pays à voter non et affirmé que les États-Unis ne toléreront pas cette nouvelle taxe écologique mondiale frauduleuse sur le transport maritime. Il a qualifié le projet de Global Green New Scam Tax on Shipping, une formule choc qui résumait la position américaine. Selon Shipping Telegraph le 19 octobre, Trump a déclaré que les États-Unis ne respecteraient pas cette taxe carbone de quelque manière que ce soit, et qu’il était outragé que l’OMI organise un vote. Cette intervention présidentielle directe, inhabituelle pour un vote technique dans une agence spécialisée des Nations Unies, soulignait l’importance politique que l’administration Trump accordait au blocage de cette mesure. La rhétorique employée — Global Green New Scam, taxe frauduleuse — visait clairement à mobiliser la base électorale de Trump qui perçoit les politiques climatiques comme des arnaques visant à appauvrir les Américains au profit d’une élite mondiale. Cette vision, partagée par d’autres pays producteurs d’hydrocarbures comme l’Arabie saoudite, la Russie et les Émirats arabes unis qui ont également voté contre selon plusieurs sources, reflétait une fracture profonde au sein de la communauté internationale sur la question climatique.

L’intervention de Trump s’inscrivait dans une stratégie coordonnée de l’administration visant à transformer chaque recul climatique mondial en triomphe politique intérieur. Selon Washington Examiner le 21 octobre, le secrétaire à l’Énergie Chris Wright a applaud le mouvement de l’administration Trump la semaine dernière pour retarder une taxe carbone internationale sur le transport maritime, l’appelant une victoire massive. Pendant des mois, l’administration Trump avait travaillé pour bloquer cette taxe carbone internationale, arguant qu’elle imposerait des charges injustes aux États-Unis. Cette campagne de longue haleine démontrait que le blocage du Net-Zero Framework n’était pas une réaction de dernière minute mais une priorité stratégique planifiée depuis des mois. La mobilisation de Trump lui-même dans les dernières 48 heures avant le vote suggérait également que l’administration craignait que la mesure ne passe malgré ses menaces, nécessitant une intervention présidentielle directe pour faire basculer suffisamment de votes. Le Financial Post le 16 octobre rapportait que Trump avait dit que les États-Unis ne toléreraient pas la taxe carbone en aucune façon, forme ou manière, et qu’il était outragé que l’OMI organise un vote. Cette rhétorique incendiaire, diffusée sur Truth Social à un moment critique des négociations, constituait une pression psychologique maximale sur les délégations nationales présentes à Londres qui devaient décider de leur vote dans les heures suivantes.

14-17 octobre 2025 : quatre jours de négociations tendues à Londres

La session extraordinaire du Comité de protection du milieu marin s’était ouverte le lundi 14 octobre 2025 au siège de l’Organisation maritime internationale à Londres dans une atmosphère de tension extrême. Selon Reccessary le 17 octobre, les nations réunies au siège de l’OMI à Londres cette semaine devaient voter aujourd’hui pour adopter formellement le Net-Zero Framework pour réduire les émissions du transport maritime, mais des questions se multipliaient concernant l’incertitude politique et l’opposition menée par les États-Unis. Malgré les menaces de représailles américaines contre les nations soutenant le Net-Zero Framework, une majorité avait exprimé son soutien lors de la session d’ouverture, notamment la Chine, le Brésil et l’Union européenne selon la même source. Le NZF proposait un système mondial de tarification du carbone selon lequel les navires à émissions élevées feraient face à des pénalités, tandis que les revenus récompenseraient les navires plus propres. À moins d’être opposé par un tiers des pays ou par des nations représentant la moitié du tonnage mondial, le cadre prendrait effet en mars 2027. Cependant, les États-Unis naviguaient à contre-courant. Le processus d’adoption fluide dépendait du maintien de la procédure d’acceptation tacite originale, mais Washington avait proposé de passer à une acceptation explicite, qui nécessiterait l’approbation écrite de deux tiers des États membres pour que le NZF soit adopté. Le World Shipping Council avait averti qu’un tel processus chronophage pourrait retarder la mise en œuvre de plusieurs années, voire de plusieurs décennies selon Reccessary.

Les jours suivants avaient vu une intensification dramatique des pressions diplomatiques. Selon Climate Home News cité par The Energy Mix le 16 octobre, le problème est que Donald Trump ne veut pas de ce qu’il a surnommé cette Global Green New Scam Tax on Shipping — et les États-Unis font tout leur possible pour faire dérailler le processus. Ce qui se passait ne choquerait pas les vétérans de la COP climatique mais était inhabituel pour l’OMI normalement posée — avec son profil bas et ses pauses déjeuner et thé programmées, ajoutait le correspondant Joe Lo depuis Londres. Des signes de vacillement étaient apparus cette semaine. Bloomberg rapportait jeudi que Athènes, qui avait longtemps été sceptique face au plan en raison de l’impact sur son industrie maritime, envisageait de s’abstenir selon Financial Post le 16 octobre. Vendredi, Singapour — précédemment partisan du plan — avait proposé que les nations retardent le vote sur la taxe. Cela avait été soutenu par l’Arabie saoudite, qui était déjà contre la règle selon la même source. Selon LMITAC le 20 octobre, à la suite d’une demande de vote par l’Arabie saoudite, les nations avaient voté 57 contre 49 en faveur du délai. Huit nations n’avaient pas assisté, tandis que 21 autres — dont la Grèce et Chypre — s’étaient abstenues. Alors que la Chine, la Russie et les grandes nations exportatrices de pétrole avaient voté en faveur du délai, les nations de l’UE avaient voté contre. Pour l’emporter, le côté Oui nécessitait 54 votes sur 106. Cette défaite par la marge la plus étroite — seulement trois votes au-dessus du seuil minimal — démontrait à quel point la pression américaine avait été efficace pour retourner des pays qui, quelques mois auparavant en avril, avaient voté massivement en faveur du cadre.

17 octobre 2025 : le vote d’ajournement et les réactions immédiates

Le vendredi 17 octobre 2025, après quatre jours de négociations intenses, les délégués présents à l’OMI avaient finalement voté sur la motion d’ajournement présentée par Singapour et mise au vote par l’Arabie saoudite. Selon Wotton Kearney le 20 octobre, malgré un large soutien de plusieurs États membres, des obstacles politiques avaient empêché l’adoption du Net-Zero Framework de l’OMI. Pendant la session, les délégués de Singapour avaient proposé de retarder l’adoption, une motion que l’Arabie saoudite avait demandé de mettre au vote. Finalement, les délégués avaient voté 57 contre 49 en faveur du délai. En conséquence, la session avait été ajournée pour 12 mois, les discussions devant reprendre fin 2026. Ce délai repoussait la première entrée en vigueur possible d’un cadre réglementaire mondial au début 2028, augmentant le risque d’un paysage réglementaire fragmenté entre-temps et prolongeant l’incertitude pour l’industrie maritime alors qu’elle naviguait dans les efforts de décarbonation. L’OMI avait déclaré que dans l’intérim, les États membres continueraient à travailler vers un consensus sur le Net-Zero Framework de l’OMI. Dans ses remarques de clôture selon CBC le 17 octobre, le secrétaire général de l’OMI Arsenio Dominguez avait noté : Maintenant vous avez un an ; le travail continuera sur les aspects des amendements. Vous avez un an pour négocier, discuter et atteindre un consensus. Il avait ajouté que la manière dont les discussions s’étaient déroulées cette semaine ne devait pas se reproduire selon Global Maritime Forum le 17 octobre, une formulation diplomatique qui trahissait sa frustration face aux tactiques d’intimidation déployées par certains États membres.

Les réactions à ce vote avaient été immédiates et contrastées. Le secrétaire d’État américain Marco Rubio avait confirmé vendredi après-midi que l’administration Trump avait empêché une hausse massive de taxes de l’ONU sur les consommateurs américains qui aurait financé des projets climatiques progressistes selon Shipping Telegraph le 19 octobre. C’est une autre ÉNORME victoire pour POTUS, avait déclaré le secrétaire d’État américain dans un message sur X. Du côté des défenseurs du climat, les réactions exprimaient colère et désespoir. Ralph Regenvanu, le ministre du changement climatique de Vanuatu, avait critiqué la décision comme inacceptable, soulignant la nature pressante du changement climatique selon CBC le 17 octobre. Si les réglementations proposées pour le transport maritime vert avaient été acceptées, cela aurait marqué la première instance d’une taxe mondiale sur les émissions de gaz à effet de serre, puisque la plupart des navires fonctionnent actuellement au fioul lourd qui émet du dioxyde de carbone et d’autres polluants nocifs. Le Dr Tristan Smith, professeur d’énergie et de transport à l’Institut de l’énergie de l’UCL, Groupe de recherche sur le transport maritime et les océans, avait déclaré selon Shipping and Oceans le 20 octobre : C’est catastrophique pour la confiance, et donc aussi pour la décarbonation équitable et ambitieuse dont nous avons besoin. Nous devrons maintenant redoubler d’efforts par d’autres moyens pour conduire la réduction des GES du transport maritime et la transition énergétique. La science climatique nous dit que le défi de la décarbonation ne disparaît pas, il devient plus difficile. Ce délai signifie donc que ceux qui ont les moyens doivent intensifier leurs efforts et diriger plus que jamais, jusqu’à ce que ce processus multilatéral puisse retrouver sa contenance.

Post-vote : Chris Wright célèbre la victoire contre les absurdités climatiques

Quelques jours après le vote, le secrétaire à l’Énergie Chris Wright avait pris la parole lors du Sommet mondial sur l’énergie de l’America First Policy Institute le 15 octobre pour célébrer ce qu’il considérait comme une victoire majeure. Selon Washington Examiner le 21 octobre, Wright avait applaudi le mouvement de l’administration Trump la semaine dernière pour retarder une taxe carbone internationale sur le transport maritime, l’appelant une victoire alors que les États-Unis intensifiaient la pression contre les politiques climatiques mondiales. La semaine dernière, les États-Unis avaient réussi à pousser les membres de l’Organisation maritime internationale à retarder un vote sur l’adoption du cadre net-zéro, qui imposerait une taxe carbone sur le transport maritime. Pendant des mois, l’administration Trump avait travaillé pour bloquer cette taxe carbone internationale, arguant qu’elle imposerait des charges injustes aux États-Unis. Wright avait révélé avoir personnellement contacté près de vingt pays pour les convaincre de voter contre le Net-Zero Framework selon plusieurs sources. Nous avons le mégaphone le plus influent du monde, et de loin, avait-il déclaré avec une fierté non dissimulée. Il avait ajouté que la foule du ça va arriver était très déçue la semaine dernière quand la taxe mondiale sur le carbone et les carburants maritimes à zéro émission sont partis en fumée. Cette déclaration, teintée de sarcasme, illustrait parfaitement la stratégie de l’administration Trump : transformer chaque recul climatique mondial en triomphe politique intérieur.

Pour Wright, ce vote à l’OMI représentait un point pivot dans toutes ces absurdités climatiques, une phrase qui résumait à elle seule sa vision du combat environnemental. Il avait affirmé que le président Trump est totalement engagé dans la domination énergétique américaine. C’est une victoire, non seulement pour l’Amérique, mais pour le monde entier selon plusieurs comptes rendus de son discours. Cette affirmation, qui assimilait la consommation effrénée d’hydrocarbures à un bien commun planétaire, illustrait l’écart grandissant entre la vision américaine et celle portée par l’Union européenne et les nations les plus exposées aux conséquences du réchauffement climatique. Wright avait également déclaré que la semaine dernière à l’OMI marque un point pivot dans toutes ces absurdités climatiques, promettant un retour à des visions réalistes de l’énergie. Cette rhétorique triomphaliste, qui transformait chaque échec climatique mondial en succès national, alimentait une base électorale sceptique envers la science du climat et convaincue que les accords internationaux cherchent à affaiblir l’Amérique. Pendant ce temps, quarante-trois personnes liées à l’industrie pétrolière, gazière et minière ont été recensées au sein de l’administration Trump par deux ONG américaines, confirmant l’emprise du lobby fossile sur la politique énergétique du pays — une réalité que Wright, ancien PDG d’une entreprise de fracking, incarnait parfaitement.

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