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Pendant des mois, le président de la Chambre Mike Johnson a tout fait pour éviter ce moment. En juillet dernier, il a renvoyé la Chambre chez elle un jour plus tôt pour les vacances d’août, bloquant ainsi toute progression sur le dossier Epstein. Plus tard, il a maintenu la Chambre fermée pendant plus de 50 jours durant le plus long shutdown gouvernemental de l’histoire américaine, retardant même l’assermentation de la démocrate Adelita Grijalva de l’Arizona. Cette élue est devenue, après la fin du shutdown la semaine dernière, la 218e signature sur la pétition de décharge qui contraint Johnson à organiser ce vote. Le projet de loi, coparrainé par le républicain du Kentucky Thomas Massie et le démocrate californien Ro Khanna, exige que le département de la Justice publie tous les documents liés à Epstein dans les 15 jours suivant son adoption. Johnson a continué lundi à exprimer ses préoccupations, affirmant qu’il avait parlé « pas mal » à Trump du sujet et insistant sur la nécessité de protéger les victimes. Mais cette posture de défense des victimes cache-t-elle autre chose ? Beaucoup pensent que oui.

Ce contenu a été créé avec l'aide de l'IA.

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