«If this were any other president» — le test de la 25e amendement
Matthews dit une chose simple qui révèle tout. «Si c’était n’importe quel autre président, on parlerait de la 25e Amendement», dit-elle. C’est vrai. Complètement vrai. Si Joe Biden avait appelé à pendre les républicains du Congrès, les parlementaires républicains seraient dehors en ce moment, criant pour son retrait. Les médias conservateurs se déchaîneraient. Les appels à la destitution iraient partout. Mais avec Trump? C’est juste une mardi normal. C’est juste Trump qui dit une chose extrême. C’est juste… l’ordre du jour.
Le test de la 25e Amendement est une heuristique parfaite pour l’hypocrisie politique. Qu’est-ce qu’on accepterait de la part du président de l’autre parti? Qu’est-ce qu’on tolérerait? Et maintenant, applique ce standard à Trump. L’abîme entre ce qu’on tolérerait et ce qu’on tolère maintenant — c’est l’hypocrisie institutionnalisée.
L’argument de Leavitt c’est que les démocrates incitent à la violence — mais c’est le contraire
Karoline Leavitt a prétendu que c’étaient les démocrates qui incitaient à la violence. Avec leur vidéo reminding soldiers of constitutional rights. C’est inversé. C’est totalement inversé. Et Sarah Matthews le dit directement : «To me, it looks like the president is the one very clearly inciting violence here». Le président. Pas les vétérans démocrates. Le président qui appelle à la mort. Leavitt essaie de faire croire que rappeler la Constitution c’est de la sédition. C’est de la manipulation linguistique classique — transformer la défense de la Constitution en attaque contre elle.
Ce que Leavitt fait, c’est du gaslighting institutionnel. Elle regarde le lecteur dans les yeux et elle dit : ce que vous voyez n’est pas ce que vous voyez. Ce que le président a écrit ce n’est pas un appel à l’exécution. C’est une réaction raisonnable à une provocation. Et si vous ne le croyez pas, c’est vous qui êtes le problème. C’est terrifiant. C’est totalitaire.
L'infrastructure du silence — pourquoi les républicains acceptent l'inacceptable
«Tone down the rhetoric» après l’assassinat de Charlie Kirk — mais Trump escalade
Il y a quelques semaines, un individu a tué Charlie Kirk. Après ça, tout le monde — les politiciens, les commentateurs, les leaders d’opinion — a dit : «Il faut tone down la rhétorique». Calmer le langage. Moins de haine. Moins de violence. Moins d’extrémisme. C’était le consensus. Tone down. Et puis Trump regarde cette vidéo de vétérans démocrates et il dit : «Hang them. Death penalty». Au lieu de toner down, Trump escalade. Il double vers le bas. Il triple down. Et les républicains? Les républicains disent rien.
La coïncidence temporelle est insoutenable. On vient de demander à tout le monde de calmer le ton après un assassinat lié à la rhétorique politique. Et Trump fait exactement le contraire. Il crie plus fort. Il menace plus directement. Et le silence républicain qui suit — c’est un consentement.
«Sanitizing» Trump au lieu de le condamner — c’est comment la démocratie meurt
Matthews appelle ça par son vrai nom : «sanitizing». Les républicains ne défendent pas Trump. Ils le «nettoient». Ils disent : «Ce qu’il a voulu dire c’est…» ou «Si on le comprend dans le contexte…» ou «Techniquement, c’est pas un appel direct…». Ils prennent quelque chose de clairement extrême et ils le font passer par un lave-linge politique jusqu’à ce qu’il soit «acceptable». Et Matthews dit : «C’est vraiment shameful». Honteusement. Choquant. Tous les parlementaires devraient condamner ça clairement. Pas des excuses. Pas de nuance. Une condamnation directe.
C’est ça qui me terrifie le plus. Ce n’est pas que Trump appelle à l’exécution. C’est que les républicains savent que c’est mal et qu’ils le défendent quand même. Ils savent que c’est une ligne franchie. Et ils la défendent. C’est une capitulation active, pas une passivité complice.
La normalisation comme arme politique — comment tout devient acceptable
Comment Trump a «normalized» l’extrémisme et nous a tous «desensitized»
C’est pas un accident. Matthews le dit clairement : Trump a «normalisé» ce type de rhétorique. Il nous a «desensitisé». Chaque jour, il y a un nouveau scandale. Chaque jour, il y a une nouvelle ligne franchie. Et après trois mois, deux ans, cinq ans — les gens s’habituent. Appeler à l’exécution des politiciens ennemis? C’est juste Trump». Encourager la violence? C’est juste Trump. Mentir? C’est juste Trump. Et petit à petit, l’extraordinaire devient ordinaire. L’monstrueux devient normal.
C’est la technique totalitaire classique. Surcharger le système avec l’anomalie jusqu’à ce que personne ne sache plus ce qui est normal. J’ai lu des historiens parler de ça — comment Hitler a procédé. Comment les régimes font ça. Ils changent l’Overton window petit à petit. Et maintenant, les appels à l’exécution c’est juste… une conversation politique normale.
«This situation highlights how divided we are» — mais c’est pas de la division normale
Matthews termine avec une observation : «This really does speak to how divided we are as a nation». C’est vrai. On est divisé. Mais c’est pas une division symmétrique. C’est pas deux côtés qui désagrègent. C’est un côté qui appelle à l’exécution et l’autre côté qui essaie de rappeler la Constitution. C’est pas une division équivalente. C’est une côté qui embrace l’extrémisme et un côté qui le combat. Et Matthews, en venant parler publiquement, elle choisit son côté. Elle choisit la vérité.
Quand Matthews dit qu’on est divisés, j’entends quelque chose de plus profond. Elle dit qu’on a perdu notre capacité à établir une base de réalité commune. Qu’on ne peut plus se mettre d’accord sur ce qui est normal. Et c’est beaucoup plus grave qu’une simple division politique.
Conclusion — quand la conscience vainc la loyauté
Une ancienne aide Trump renonce à l’accès pour dire la vérité
Sarah Matthews a des choix. Elle pourrait rester silencieuse. Elle pourrait faire sa vie. Elle pourrait travailler dans le secteur privé, gagner beaucoup d’argent, oublier. Au lieu de ça, elle va à la télévision et elle appelle Trump et les républicains par leur vrai nom : hypocrites. Absolument insensés. Complices d’un appel à l’exécution politique. C’est un acte de courage politique extraordinaire. C’est quelqu’un qui dit : «L’accès ne vaut pas l’âme». La loyauté envers le pouvoir ne vaut pas la loyauté envers la vérité.
Ce qui va arriver, c’est prévisible. Matthews va être attaquée. Trump va la traiter de traître. Les Republicans vont dire qu’elle es amère, qu’elle cherche l’attention, que c’est pas fiable. Elle sera marginalisée. Son témoignage sera ignoré ou ridiculisé. Mais ça ne change pas ce qu’elle a dit. C’est hallucinant. C’est absolument insensé. C’est l’hypocrisie du Parti républicain exposée. Et elle l’a dit à haute voix, avec son nom, sans anonymat. C’est différent de ceux qui se cachent en parlant aux médias anonymement. Matthews met sa face, sa carrière, sa sécurité sur la ligne. Et c’est ça qui va compter, finalement. Pas ce que les critiques vont dire. C’est ça — l’honneur de quelqu’un qui refuse de normaliser l’extrémisme.
Je pense qu’on va se souvenir de Sarah Matthews dans cinq ans, dix ans, quand on regardera en arrière et qu’on se demandera : comment en sommes-nous arrivés là? Et la réponse va inclure des gens comme elle. Des gens qui ont dit non. Des gens qui n’ont pas accepté la normalisation. Des gens qui ont choisi de parler.
Source : huffpost
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Cou’donc, écrivez-vous en français ou en anglais? Vos textes sont cousus de fautes. C’ est du vrai charabia votre affaire. Pour des journalistes, vous faites dur pas à peu près. Et l’ IA aussi. Franchement! Un peu de respect pour vos lecteurs.