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Neuf mois de négociation qui n’ont rien donné — sauf cette leçon

Depuis mars 2025, Carney et Trump se parlent. Premiers appels. Première réunion à la Maison-Blanche en mai. Rencontre en Corée du Sud en octobre. Et puis… l’Ontario air commercial anti-tarifs. Reagan qui parle contre Trump. Trump qui rage. Trump qui dit « pas de discussions pendant un certain temps ». Trump qui menace des tarifs supplémentaires de 10 %. Et Carney ? Il s’excuse — tactiquement. Puis il attend. Il ne court pas après Trump. Il ne supplie pas. Il dit : « Nous réglerons ça quand nous serons prêts ». En novembre, à la Corée, ils se revoient. Trump dit que Carney a « très bien s’excusé ». Et tout rentre dans l’ordre. Mais rien n’est vraiment résolu. Les tarifs restent. L’accord ACÉUM reste suspendu. Les négociations commerciales réelles ? En attente. Neuf mois. Et personne n’a bougé fondamentalement.

C’est ça qui est brillant. Carney a compris quelque chose que les négociateurs précédents n’avaient pas saisi. Trump ne veut pas vraiment négocier. Trump veut dominer. Trump veut l’humiliation. Trump veut être celui qui « gagne ». Alors Carney refuse de perdre. Il refuse de supplier. Il refuse même de montrer de l’inquiétude. Et quand Trump appelle, Carney ne court pas. Carney dit : « Je vais t’appeler quand ça compte ». C’est pas insolent. C’est glacial. C’est parfait.


Neuf mois sans résultat. Ça aurait dû être une catastrophe politique pour Carney. Mais non. Au lieu de ça, il ressort comme le leader qui refuse d’être dominé. C’est une alchimie politique rare. C’est la transformation de l’absence de victoire en victoire stratégique. C’est presque artistique.

Les tarifs qui restent, mais Trump qui hésite — le vrai signal

Voilà le détail que tout le monde rate. Trump a menacé des tarifs supplémentaires de 10 % en octobre. À cause de l’ad. Ces tarifs auraient porté le total à 45 %. Quarante-cinq pour cent. C’est dévastateur. Et Trump a dit publiquement : « Je vais imposer ça ». Fin octobre. Novembre arrive. Et Trump… ne le fait pas. Il maintient la menace. Mais il ne la met pas en application. Pourquoi ? Parce que Carney ne panique pas. Parce que Carney a d’autres options. Carney annonce une « nouvelle alliance commerciale avec l’Inde ». Carney va rencontrer Modi. Carney dit : « Le Canada ne sera jamais à vendre ». Et subitement, Trump est plus prudent. Parce que Trump réalise que Carney n’a pas besoin de lui. Pas entièrement. Et quand tu n’as pas besoin de quelqu’un ? Tu as du pouvoir.

Un officiel américain — anonyme, parce qu’il a peur — dit que « les Canadiens savent ce qui est sur la table ». Traduction : Trump maintient la menace, mais il ne veut pas l’utiliser maintenant. Il attend de voir si Carney va se briser. Il attend de voir si le Canada va supplier. Et Carney ? Il s’en fout. Il parle à Modi. Il construit des ponts. Il regarde ailleurs. Et Trump doit regarder le silence que Carney ne casse jamais.


Les tarifs ne sont pas baissés. L’accord n’est pas signé. Mais quelque chose a changé. Trump n’est plus en contrôle de la conversation. C’est Carney qui contrôle maintenant. Et c’est un pouvoir que Trump ne peut pas acheter ou intimider.

Source : UPI

Ce contenu a été créé avec l'aide de l'IA.

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