Skip to content

Déficit commercial qui se creuse, mais moins que prévu

En août 2025, le déficit commercial canadien a atteint 6,32 milliards de dollars. C’est pire que les 5,6 milliards prédits. Ça semble catastrophique. Mais voilà — le contexte. Avant les tarifs, le déficit tournait autour de 3,82 milliards. Donc oui, c’est pire. Mais c’est pas catastrophique. Les exportations réelles ont baissé de 2,8 % — c’est une contraction. Mais elles n’ont pas disparu. Elles se sont ajustées. Et ensuite ? Les exportations d’aéronefs ont grimpé. L’aluminium — même sous un tarif de 50 % — a augmenté ses exportations de 48,3 % en septembre. Quarante-huit virgule trois pour cent. C’est de l’ingénuité. C’est du « on va trouver un moyen, peu importe ».

Mark Carney — le premier ministre du Canada — a mis en place une stratégie. Il a retiré la surtaxe canadienne de 25 % sur la plupart des biens américains compatibles avec l’ACÉUM en septembre 2025. C’était un geste tactique. Permettre aux importateurs canadiens d’économiser. Permettre aux entreprises de respirer un peu. Et ça a semblé fonctionner. Le déficit s’est creusé moins que prévu. Les prix n’ont pas explosé comme on le craignait. Ça reste fragile. Mais ça tient.


Le déficit qui s’aggrave, c’est une mauvaise nouvelle. Mais c’est moins mauvais que ce qu’on avait prévu. C’est comme regarder une blessure que tu croyais mortelle et découvrir qu’elle est seulement profonde. C’est un soulagement étrange et troublant à la fois.

Certains secteurs s’effondrent, d’autres trouvent la lumière

Le bois d’œuvre ? C’est un carnage. Les exportations ont chuté de 25,4 %. C’est catastrophique pour la Colombie-Britannique. Pour les petites villes forestières. Pour les familles qui dépendent de cette industrie. Les métaux aussi — l’or, l’argent, le palladium brut — ont baissé de 11,8 %. C’est réel. C’est douloureux. C’est des emplois qui disparaissent en cette moment.

Mais — et c’est un mais important — l’aviation explose. Les exportations d’aéronefs progressent. Bombardier prépare ses livraisons. Les biens de consommation augmentent. L’énergie reste forte malgré les tarifs. Et l’aluminium ? Sous un tarif de 50 %, l’industrie canadienne a trouvé un moyen. Peut-être que les entreprises absorbent les coûts. Peut-être qu’elles ont restructuré leurs chaînes d’approvisionnement. Peut-être qu’elles vendent à d’autres marchés. Peu importe comment. L’industrie persiste. Ça ne compense pas les pertes au bois d’œuvre. Mais ça empêche le total naufrage.


Voir le bois d’œuvre mourir et l’aviation prospérer — c’est la transformation économique en temps réel. C’est l’extinction d’un monde et la naissance d’un autre. Les gens du secteur forestier ne sont pas consolés par le fait que Bombardier s’en tire bien. Mais pour le Canada dans son ensemble ? C’est la différence entre la récession et la stagnation.

Source : nationalpost

Ce contenu a été créé avec l'aide de l'IA.

facebook icon twitter icon linkedin icon
Copié!

Commentaires

0 0 votes
Évaluation de l'article
Subscribe
Notify of
guest
0 Commentaires
Newest
Oldest Most Voted
Inline Feedbacks
View all comments
Plus de contenu