Introduction
Lundi 24 novembre 2025. Une vidéo. Six démocrates. Un message simple: les soldats peuvent refuser les ordres illégaux. Point. Rien de radical. Rien de nouveau. C’est la loi fondamentale des États-Unis. Et puis Trump explose. Sur les réseaux sociaux. Les mots sortent comme du feu: « Sédition. Punissable par la mort. » Mardi. Le FBI bouge. Le Pentagone bouge. Les enquêtes commencent. Mark Kelly, sénateur de l’Arizona, ancien astronaute, ancien capitaine de la marine, se retrouve menacé de cour martiale. Cinq autres démocrates avec lui. C’est pas juste politique. C’est la transformation de la justice américaine en arme. C’est le système judiciaire qui se plie aux caprices d’un président. Et c’est l’Amérique qui bascule.
Une vidéo. Un message simple sur la loi. Et maintenant? Le FBI. Le Pentagone. Les enquêtes. Comment est-ce possible? Comment un pays démocratie peut-il faire ça?
La vidéo qui a déclenché la machine
Un message sur la Constitution. Rien de plus
Le 18 novembre, Elissa Slotkin, sénatrice du Michigan, ancienne analyste de la CIA, publie une vidéo. Elle est avec Mark Kelly. Jason Crow. Maggie Goodlander. Chris Deluzio. Chrissy Houlahan. Tous démocrates. Tous vétérans militaires ou anciens membres des services d’renseignement. Le message? Basique. Fondamental. « Nos lois sont claires. Vous pouvez refuser les ordres illégaux. » Puis: « N’oubliez pas votre serment. À la Constitution. Pas à un président. » C’est quoi, techniquement, le droit fondamental dans l’armée américaine. C’est dans le Uniform Code of Military Justice. C’est écrit noir sur blanc. Les militaires peuvent — et doivent — refuser les ordres qui violent la loi. La vidéo fait cela. Elle rappelle simplement cette réalité. Pas d’accusation. Pas de critique violente. Juste: n’oubliez pas ce que vous avez juré.
Un message sur la Constitution. Sur la loi. Et maintenant c’est de la sédition? C’est quoi, sédition, alors? Dire la vérité?
Le contexte: les frappes aériennes sans approbation
Pourquoi cette vidéo existe-t-elle? Parce que Trump venait de lancer plus de vingt frappes aérienens contre ce qu’il prétend être des trafiquants de drogue dans les Caraïbes et l’océan Pacifique. Sans approbation du Congrès. Sans débat. Sans limite légale claire. Juste… boom. Les missiles volent. Les gens meurent. Et le Congrès regarde, impuissant. Les démocrates vétérans se disent: « Arrêtez. C’est illégal. Nos militaires ont le droit — et le devoir — de refuser.» Voilà pourquoi la vidéo. Ce n’est pas de la rébellion. C’est un appel à respecter la loi.
Vingt frappes aériennes. Sans approbation. Et puis les mecs qui disent « Attendez, c’est illégal » sont accusés de sédition. Le monde marche sur la tête.

La vengeance de Trump s’active
« Punissable par la mort » — les mots du président
Trump lit la vidéo. Trump voit le message. Et Trump explose sur Truth Social. Ses mots: « Sédition. Punissable par la mort ». Il parle de Mark Kelly en particulier. Il dit qu’« un exemple DOIT ÊTRE DONNÉ ». Il dit que ces gens sont des « traîtres ». Il demande l’arrestation. Il demande l’exécution. Ce ne sont pas des paroles molles. Ce ne sont pas des critiques politiques. C’est appel direct à l’action pénale. C’est un président qui dit au système judiciaire: « Faites quelque chose. »
Le FBI se met en mouvement 24 heures plus tard
Lundi. Le Pentagon annonce qu’il enquête sur Mark Kelly. C’est une première. Mercredi. Le FBI bouge. La division contre-terrorisme du FBI envoie un message aux Sergents d’armes du Congrès. Les démocrates reçoivent la notification: le FBI veut les interviewer. Tous les six. Elissa Slotkin dit publiquement: « L’FBI contact hier soir. Contre-terrorisme. Ils ouvrent ce qui ressemble à une enquête contre nous six. » L’enquête anti-terrorisme. Pas l’enquête standard. Pas une question de procédure. Contre-terrorisme. C’est le classement que tu utilises pour les suspects impliqués dans des actes violents. Des complots contre le gouvernement. Des menaces existentielles. Pas pour des vidéos expliquant la loi.
Contre-terrorisme. Le FBI utilise ce label pour des sénateurs qui parlent de la Constitution. Le système se plie. Systématiquement.
Les démocrates se défendent. La Constitution tremble
Mark Kelly refuse de se soumettre
Mark Kelly répond. Il dit à CBS News: «J’ai dit quelque chose de simple et de non controversé. Les militaires doivent suivre la loi.» Il ajoute: « En réponse, Trump dit que je devrais être pendu. Exécuté. Poursuivi. » Il montre ses médailles militaires. Ses décorations. Il dit: « J’ai volé des missions. Des missiles ont explosé près de mon avion. J’ai participé à des opérations spatiales complexes. » Pete Hegseth, secrétaire à la Défense, regarde les médailles et critique leur arrangement. Il critique l’arrangement des médailles d’un vétéran militaire. C’est l’humiliation en action. C’est le pouvoir qui écrase les critiques.
Hegseth qui critique l’arrangement des médailles. C’est minuscule. C’est aussi tout. C’est montrer du pouvoir juste pour montrer du pouvoir.
Les autres démocrates crient au fascisme
Elissa Slotkin parle à la presse: « Exactement pourquoi nous avons fait cette vidéo. Le président utilise le gouvernement fédéral contre ses adversaires. Il ne croit pas que la loi s’applique à lui. » Jason Crow, représentant du Colorado, ancien militaire: « Trump nous intimide. Cela ne fonctionnera pas. » Chrissy Houlahan d’Pennsylvania: « Aucune intimidation ne nous fera reculer. » Le sénateur Ben Galo, l’autre sénateur de l’Arizona, crié sur les réseaux sociaux en langage fort qu’ils refusent de se laisser intimider. Puis il dit: « Vous êtes tous des fascistes. Le secrétaire Hegseth, tous autant que vous êtes. » C’est pas une critique politico. C’est la description d’un système brisé.
Les démocrates qui crient au fascisme. C’est une accusation grave. C’est aussi précis. Le gouvernement pointe les armes judiciaires contre les adversaires politiques. C’est fascisme. Littéralement.

Ce que cela signifie pour l’Amérique
La justice weaponisée. Un précédent qui va rester
Regardez ce qui se passe. Trump dit quelque chose sur les réseaux sociaux. Le Pentagon bouge. Le FBI bouge. Les enquêtes commencent. C’est l’ordre inverse de la démocratie. Normalement, les agences fédérales enquêtent indépendamment. Elles présentent des preuves. Elles recommandent des accusations. Le politique suit. Ici? Le politique donne l’ordre. Les agences fédérales obéissent. C’est la transformation du FBI en arme politique. C’est la transformation du Pentagone en bras du pouvoir exécutif. Et personne — vraiment personne — ne l’arrête.
L’ordre inverse de la démocratie. Trump commande. Les agences obéissent. C’est pas comment ça doit marcher. C’est pourtant exactement comme ça marche maintenant.
Conclusion
Mardi 25 novembre 2025, l’Amérique franchit une ligne. Pour la première fois depuis Watergate, un président utilise ouvertement les agences fédérales contre ses adversaires politiques.criminel. Pas de prétexte. Pas d’illusion. Juste: « Pourchassez-les. » Et le système obéit. Mark Kelly parle de la loi. Trump dit qu’il devrait être exécuté. Le FBI ouvre une enquête contre-terrorisme. C’est la justice versée en arme. C’est la fin de la séparation des pouvoirs. C’est la transformation de l’Amérique en quelque chose qu’elle n’a jamais été. Six sénateurs et représentants démocrates reçoivent des appels du FBI. Personne ne sait ce qui va se passer ensuite. Mais une chose est claire: ce précédent va rester. Et la prochaine fois? Il sera plus facile. Plus rapide. Plus brutal. Bienvenue à la nouvelle Amérique.
Chronique : Trump arme le FBI contre les démocrates. Les enquêtes politiques commencent
Source : cnbc
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