Skip to content

Une simple commodité transformée en scandale inventé par un autocrate

D’abord, les faits. L’autopen existe depuis des décennies. C’est un outil. Une machine. Elle reproduit la signature d’une personne. Elle est utilisée par tous les gouvernements du monde. Elle est utilisée dans les entreprises. Elle est légale. Elle a été approuvée par les plus hauts niveaux de l’administration juridique américaine. L’Office du conseiller juridique du Solicitor General en 1929 a confirmé que c’était légal. Plus récemment, un mémorandum du gouvernement Bush a conclu que la Constitution ne stipule nulle part qu’une signature doit être manuscrite.

Biden l’a utilisée comme tous ses prédécesseurs. Trump aussi l’a utilisée pendant son premier mandat. Il l’a admis publiquement en mars 2025. «Seulement pour très peu de documents importants», a-t-il dit. Mais c’est un mensonge. Trump a utilisé l’autopen pour beaucoup de choses. Et maintenant, il y a des experts en écriture qui ont confirmé que les signatures de Trump sur les grâces récentes sont identiques. Littéralement identiques. Ce qui est physiquement impossible. Seule une machine peut produire des signatures identiques.

Mais Trump ne s’en soucie pas. Il voit l’autopen comme une arme. Il voit une machine qu’il peut utiliser contre Biden. Et il l’utilise. Il en parle constamment. Il dit que c’est «l’un des plus gros scandales de l’histoire américaine». Sans preuves. Absolument zéro preuves. Juste une allégation. Et une allégation d’un président, c’est suffisant pour que les gens commencent à la croire.

Je regarde Trump critiquer l’autopen de Biden, et puis je vois des signatures identiques de Trump. Et je me demande : comment personne n’est pas en train de rire? Comment est-ce que ça n’est pas une blague nationale? Comment les médias ne sont pas en train de dire : «Attends, Trump utilise aussi l’autopen et il critique Biden pour ça?» Mais c’est le monde maintenant. Personne ne peut critiquer Trump. Personne n’ose. Parce que critiquer Trump, c’est être «fake news». C’est être un ennemi de l’État.

La menace de parjure : utiliser le système juridique comme arme

Trump ajoute quelque chose de terrifiant. Il menace Biden. Il dit : «Si Biden dit qu’il a approuvé l’autopen, il sera poursuivi pour parjure.» C’est un avertissement direct. C’est : tais-toi, ou tu vas en prison. Et c’est le président qui dit ça. Trump est en train de dire qu’il va utiliser le système juridique pour punir son prédécesseur simplement parce que Biden va se défendre.

Biden a défendu son utilisation de l’autopen. Il a dit que c’était légal. Qu’il avait approuvé tous les décrets verbalement. Que l’autopen avait juste reproduit sa signature. Et maintenant Trump le menace de parjure. Pour dire la vérité. Trump est en train de créer un régime où dire la vérité peut te mettre en prison.

Et il utilise le FBI pour ça. Il utilise le Département de la Justice. Il en a parlé au procureur général. Et le procureur général regarde. Et accepte. Parce qu’il travaille pour Trump maintenant. Pas pour la loi. Pas pour la justice. Pour Trump. C’est la fin du système juridique indépendant. C’est le commencement d’un système où le droit est juste un outil du pouvoir exécutif.

Je pense à ce que ça signifie de menacer de parjure quelqu’un qui dit la vérité. C’est l’inversion complète de la justice. Normalement, le parjure c’est quand tu mens sous serment. Mais Trump transforme ça. Il transforme parjure en : si tu contredis le président, c’est du parjure. C’est Orwellien. C’est la novlangue. C’est 1984. Et on l’accepte juste. On continue. On regarde. On dit rien.

Source : townhall

Ce contenu a été créé avec l'aide de l'IA.

facebook icon twitter icon linkedin icon
Copié!

Commentaires

0 0 votes
Évaluation de l'article
Subscribe
Notify of
guest
0 Commentaires
Newest
Oldest Most Voted
Inline Feedbacks
View all comments
Plus de contenu