Trump avait 47% en janvier. Maintenant c’est 36%. C’est une hémorragie
Rappelez-vous janvier 2025. Trump avait juste pris ses fonctions. Il avait 47% d’approbation. Une majorité de gens pensaient qu’il allait bien faire. Pas une supermajorité. Pas l’enthousiasme massif. Mais une base. Une fondation solide. Et depuis? Baisse de onze points en dix mois. Onze points. C’est énorme. C’est la distance entre une présidence viable et une présidence en crise. Et Trump ne peut même pas le voir. Il pense que tout va bien. Il pense que c’est fake news. Il pense que les sondages sont «truqués».
Mais le consensus est écrasant. Pas un seul sondeur majeur ne dit que Trump va bien. Gallup : 36%. Reuters/Ipsos : 38%. YouGov/Economist : 38%. Morning Consult : autour de 40%. Tous les sondeurs disent la même chose : Trump descend. Il n’y a pas de variation. Il n’y a pas de débat. C’est une réalité objective. Et elle est résumée en un chiffre : 36%.
D’où vient cette chute? D’abord, l’inflation. Trump a promis de baisser les prix. Les prix ne sont pas baisser. Seuls 26% des Américains pensent que Trump gère bien le coût de la vie. Soixante-cinq pour cent désapprouvent. Ensuite, la fermeture du gouvernement. La plus longue de l’histoire américaine. Onze jours. Pendant lesquels les travailleurs fédéraux n’ont pas reçu de salaire. Les programmes d’aide alimentaire ont été arrêtés. Et pourquoi? Pour un problème que Trump n’a pas résolu. Une impasse budgétaire qu’il n’a pas dépassée.
Je pense à tous les gens que j’ai lus dans les commentaires qui disaient : Trump va arranger l’inflation. Trump va améliorer l’économie. Et maintenant, ils se demandent : où est l’amélioration? Où est la magie que Trump promettait? Et la réponse, c’est qu’il n’y a pas de magie. Il n’y a que de la réalité. Et la réalité c’est que les politiques économiques de Trump ne fonctionnent pas. Ou peut-être que c’est pire : que Trump ne sait même pas comment faire fonctionner une économie.
Les républicains l’abandonnent : 84% seulement, le plus bas du second mandat
Ce qui est vraiment grave, c’est que même ses propres partisans l’abandonnent. Les républicains approuvent Trump à 84%. 84%! Ça semble haut, mais c’est en chute libre. Il y a un mois? 91%. Il y a trois mois? 93%. Neuf points de baisse chez les républicains. Neuf points! C’est énorme parce que les républicains ne quittent jamais leur parti. Ils sont loyaux. C’est dans leur ADN politique. Et si neuf points de républicains le quittent maintenant, imaginez ce qui va arriver dans trois mois. Six mois. Un an.
Et les indépendants? 25%. C’est pathétique. Un quart seulement des indépendants approuvent Trump. Et c’est son pire score jamais depuis qu’il est en politique. Pire que 2017. Pire que 2021. 25%. C’est dire que les indépendants ont regardé Trump, ont évalué son travail, et ont dit : non. Clairement non. Et les femmes? 31% approuvent. 64% désapprouvent. Un écart de trente-trois points chez les femmes. Les femmes donnent à Trump un F. Une note échouée. Une note catastrophique.
Je regarde ces chiffres et je vois une coalition politique qui s’effrite. Trump avait compté sur les républicains. Sur les hommes. Sur les électeurs blancs des zones rurales. Et ils sont tous en train de le quitter. Pas complètement. Pas d’un coup. Graduellement. Et quand tu perds graduellement, tu finis toujours par tout perdre. C’est une loi politique qui n’a jamais changé. Trump pense qu’il peut survivre à n’importe quoi. Mais tu ne peux pas survivre à perdre ta base. Et c’est exactement ce qui lui arrive.
Les dossiers qui tuent Trump : Epstein, inflation, budget, santé
Seulement 20% approuvent sa gestion d’Epstein, et 70% pensent qu’il cache quelque chose
Trump a promis de publier les dossiers Epstein. Il a dit qu’il allait «tout» déclassifier. Qu’il allait révéler la vérité. Et qu’est-ce qu’il a fait? Il a hésité. Il a parlé à des gens au téléphone. Il a décidé de secrets. Et maintenant, les gens pensent qu’il cache quelque chose. Soixante-dix pour cent! Et seulement 20% approuvent sa gestion du dossier Epstein. 20%! C’est le taux d’approbation d’un leader totalitaire. Pas d’un démocrate. Et Trump le vit maintenant. Il récolte ce qu’il a semé en promettant les dossiers et en ne les livrant pas.
Et ce n’est qu’Epstein. La santé? 30% d’approbation. Le budget fédéral? 31%. L’Ukraine? 31%. L’immigration—qu’il avait promis de résoudre complètement? 37%. Aucun de ces domaines n’a une majorité d’approbation. Aucun. Trump ne gagne sur aucun sujet. Même sur le crime—où il devrait dominer—il n’a que 43% d’approbation. C’est incroyable. C’est déprimente. C’est la preuve absolue que Trump ne livre pas ce qu’il vend.
J’ai lu les promesses de Trump pendant sa campagne. Des promesses énormes. Transformer l’économie. Résoudre l’immigration. Publier les dossiers Epstein. Ramener l’emploi. Et maintenant que je regarde les résultats, je vois : rien. Absolument rien d’important n’a changé. Les prix sont toujours hauts. Les emplois ne se sont pas multipliés comme promis. L’immigration n’a pas été «stoppée». Et Epstein? On attend toujours. C’est la leçon qu’on apprend maintenant : Trump promet l’impossible. Et quand il ne peut pas le livrer, les gens s’en rendent compte.
Les élections de 2026 : les républicains courent vers le désastre
43% voteraient contre Trump. Seulement 29% pour lui. C’est une catastrophe
Les élections de mi-mandat arrivent en 2026. Et les sondages sont catastrophiques pour les républicains. 43% des électeurs disent qu’ils voteront contre Trump. Seulement 29% disent qu’ils voteront pour lui. Et 28% disent que Trump n’est pas un facteur dans leur vote. Trump repousse les gens. Il les fait voter contre. C’est l’opposite de ce qu’un président devrait faire. Un président devrait inspirer. Trump inspire… une opposition massive.
Et les mineures en détail? Les démocrates ont un avantage de quatre points sur la question générique du scrutin 2026. Quatre points! Dans un environnement normal, ça serait serré. Mais quand tu comptes que Trump est en train de saborder les républicains, ça signifie que les démocrates pourraient gagner massivement. Et puis, regardez la démotivation républicaine. 71% des démocrates disent qu’ils sont motivés à voter. Seulement 60% des républicains. Les démocrates ont la faim. Les républicains ont l’apathie.
Je pense aux responsables des campagnes républicaines qui regardent ces chiffres et qui se demandent : qu’est-ce qu’on fait? Est-ce qu’on distancier Trump? Est-ce qu’on l’embrace? Et la réponse est terrible : il n’y a pas de bonne réponse. Si tu distancies Trump, les militante MAGA te tournent le dos. Si tu l’embrace, les indépendants et les modérés te tournent le dos. C’est un choix impossible. C’est un dilemme sans sortie. Et c’est ce que Trump a créé pour son parti.
JD Vance apparaît. 54% des républicains le soutiendraient en 2028. Trump 7%
Et voilà la vraie menace. Parce que dans les sondages de 2028, quand on demande aux républicains qui ils soutiendraient pour la prochaine élection présidentielle, Trump ne fait que 7%. SEPT POUR CENT. JD Vance? 54%. Un écrasement. Une anéantissement. Les républicains commencent déjà à regarder au-delà de Trump. Ils demandent : qu’est-ce qui vient après? Et la réponse semble être : Vance.
C’est le signe le plus clair que le moment de Trump s’évanouit. Il n’est pas fini. Mais il s’éffrite. Et les républicains qui le soutiennent comprennent qu’il y a une durée limite. Qu’il y a une fin programmée. Et ils cherchent déjà le successeur. C’est comme regarder un roi qui perd son pouvoir en temps réel. D’abord, les courtisans le quittent. Ensuite, les generales l’abandonnent. Et finalement, le roi réalise qu’il n’a plus de royaume.
Trump doit voir ces chiffres. Il doit savoir que Vance le dépasse 54% à 7%. Et je me demande ce qu’il ressent. Est-ce que ça le blesse? Est-ce que ça le met en rage? Ou est-ce qu’il refuse simplement d’y croire? Parce que nier la réalité c’est le superpower de Trump. Regarder les chiffres de 36% et dire : fake news. Regarder Vance qui monte et dire : je suis toujours le leader. C’est peut-être sa capacité de survie. Mais ça va l’anéantir.
Conclusion : le plancher s'approche et rien ne le retient
36%. C’est le chiffre que va rester. 36% et une désapprobation de 60%. Et Trump n’a aucun chemin pour récupérer. Les républicains le quittent. Les indépendants l’ont abandonnée. Les femmes le rejettent. Les jeunes l’ignorent. Il n’y a personne pour le sauver. Pas une politique qui va arranger l’inflation assez rapidement. Pas un dossier qui va changer d’avis aux gens. Pas un événement qui va ramener les électeurs.
Et le pire? Il reste encore un an avant les élections de 2026. Un an complet. Pendant lequel les chiffres vont probablement descendre encore. Trump va probablement continuer à faire des choses scandalouses—grâcier ses alliés, poursuivre ses ennemis, faire des promesses impossibles—et les chiffres vont continuer à descendre. Et ses propres partisans vont continuer à le quitter. Et à un moment, il sera seul. Entouré de oui-hommes. Détesté par le public. Perdu dans le vide de sa propre impopularité.
Voilà où nous sommes. Trump s’enfonce vers 34%. Vers son plancher historique. Et il n’y a rien qui peut l’arrêter. Pas la rhétorique. Pas les promesses. Rien. Juste la réalité lente et inévitable d’une présidence qui s’écroule sous son propre poids. 36%. Chiffre de la chute. Nombre de l’épilogue.
Source : washingtonexaminer
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