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Cet été, la fièvre Labubu s’est transformée en cauchemar pour des milliers de parents, d’enfants et de collectionneurs français : les douanes ont stoppé net la vague de contrefaçons en interceptant des dizaines de milliers de fausses peluches sur les routes du pays. Le jouet star, devenu viral sur les réseaux et iconique dans les cours d’école, s’est retrouvé au cœur d’un trafic massif qui expose – dans toute sa violence et sa perversité – le vrai visage du marché noir du jouet en 2025.

Explosion, engouement, tromperie, arnaques… Derrière chaque peluche Labubu se cachent des histoires de désillusion et de colère, des rêves d’enfant fracassés sur le bitume de Mulhouse ou dans la poussière des entrepôts de Moselle. C’est le choc, la stupeur, la rage. Quarante-cinq mille peluches saisies en quelques jours, des palettes entières, des camions bourrés de copies et une enquête qui soulève un voile inquiétant sur la capacité des faussaires à inonder les villes et les villages, du plus grand centre commercial aux petits dépanneurs de quartier.

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