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Le 13 septembre 2025 restera gravé dans l’histoire américaine comme le jour où Steve Bannon a franchi le Rubicon rhétorique. Trois jours après l’assassinat sanglant de Charlie Kirk sur le campus de l’Utah Valley University, l’ancien stratège de Trump a explosé lors de son émission War Room dans une diatribe d’une violence inouïe qui glace le sang. « Mettez-les en prison ou sortez-les de ce pays ! » a-t-il hurlé face à la caméra, ses yeux injectés de sang trahissant une rage qui dépasse l’entendement humain. Cette phrase — répétée comme un mantra vengeur — marque l’entrée de l’Amérique dans une spirale de haine dont personne ne mesure encore les conséquences.

Car derrière cette explosion de colère se cache une stratégie politique d’une sophistication terrifiante. Bannon ne se contente plus de dénoncer : il déshumanise l’opposition démocrate, la transforme en ennemi existentiel qu’il faut éliminer du territoire national. L’assassinat de Kirk — ce jeune activiste de 31 ans fauché par une balle dans la gorge alors qu’il débattait avec des étudiants — devient l’étincelle qui enflamme un brasier idéologique préparé depuis des mois. « Nous sommes en guerre dans ce pays », martèle Bannon avec cette intensité qui a fait sa réputation. Une guerre qui ne dit plus son nom, une guerre qui ne connaît plus de limites.

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