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Deux endroits où l’on pourrait se réfugier en cas de pépin nucléaire, et ça pourrait vous étonner

Simon Kabbaj

2025-06-28 11:24:24

Franchement, avec tout ce qu’on entend ces derniers temps, il y a de quoi avoir la boule au ventre, vous ne trouvez pas ? Les tensions au Moyen-Orient qui font les gros titres, les conflits qui n’en finissent plus un peu partout dans le monde… on en vient vite à craindre le pire, et par ‘le pire’, je pense bien sûr à une guerre qui impliquerait ces fameuses armes nucléaires. D’ailleurs, l’article original mentionnait des frappes américaines sur des sites nucléaires en Iran, après des attaques israéliennes. Même s’il y a eu un cessez-le-feu, apparemment, il a été vite remis en question. Bref, un sacré bazar qui laisse beaucoup de gens songeurs, et un peu anxieux, c’est le moins qu’on puisse dire.Et puis, il y a eu cette sortie du président Donald Trump, une tirade furieuse qui n’a rien arrangé à l’ambiance générale. Heureusement, aux dernières nouvelles, le cessez-le-feu semblait tenir bon, mais on retient son souffle, hein ? On se dit que ça ne tient qu’à un fil.

Une spécialiste se confie : où trouver un havre de paix ?

Alors voilà, au milieu de ce climat un peu lourd, une experte s’est penchée sur la question qui nous taraude tous un peu : s’il arrivait une catastrophe nucléaire, où diable pourrait-on bien aller ? Cette experte, c’est Annie Jacobsen, une journaliste d’investigation et auteure, excusez du peu. Elle a partagé ses réflexions lors d’une interview pour le podcast The Diary of a CEO avec un certain Steven Bartlett. Et ce qu’elle dit, eh bien, ça sort un peu de l’ordinaire, figurez-vous.Elle ne nous sort pas un bunker high-tech de son chapeau, non. Ses conclusions sont basées sur des études, notamment une de 2022 menée par le professeur Owen Toon, qui a mis à jour cette idée d’hiver nucléaire en se concentrant sur… la nourriture. Ça fait réfléchir, n’est-ce pas ?

Cap sur le sud : l'Australie et la Nouvelle-Zélande, nos meilleures chances ?

Accrochez-vous bien, car les deux endroits qu’elle désigne comme potentiellement plus sûrs sont… l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Oui, oui, vous avez bien entendu ! On aurait pu penser à des lieux plus isolés, plus secrets, mais non. Selon Annie Jacobsen, et d’après les travaux du professeur Toon, ce serait là-bas, et à peu près seulement là-bas, qu’on pourrait espérer maintenir une agriculture viable.Pourquoi eux, me direz-vous ? Eh bien, parce que ces pays de l’hémisphère sud seraient moins affectés par les retombées qui bloqueraient le soleil ailleurs. Et puis, il faut dire aussi qu’ils sont géographiquement assez éloignés des grandes puissances nucléaires, ce qui n’est pas un mince avantage dans ce genre de scénario catastrophe. Franchement, j’aurais pas parié là-dessus au premier abord.

Un futur bien sombre : ce que l'experte prédit pour le reste du monde

Parce que, soyons clairs, pour le reste de la planète, le tableau est franchement glaçant. Jacobsen explique que des régions comme l’Iowa aux États-Unis ou l’Ukraine – ironiquement de grands greniers à blé aujourd’hui – seraient recouvertes de neige pendant près de 10 ans. Vous imaginez ? Dix ans ! Dans ces conditions, l’agriculture s’effondrerait complètement. Et quand il n’y a plus rien à manger…Et ce n’est pas tout. Il y aurait aussi les empoisonnements dus aux radiations, parce que la couche d’ozone serait tellement endommagée qu’on ne pourrait plus mettre le nez dehors sans risquer sa peau. Les gens seraient contraints de vivre sous terre, se battant pour les maigres ressources restantes. Le professeur Toon, dans son étude, estime que des centaines de millions de personnes mourraient directement dans les explosions, et que le bilan total pourrait atteindre les cinq milliards de morts, principalement à cause de la famine. Ça donne froid dans le dos, vraiment.

Et si l'on est aux États-Unis : quelles options, franchement ?

Bon, et si on ne peut pas filer en Australie dare-dare ? Pour ceux qui se trouveraient aux États-Unis, le magazine Newsweek a analysé des cartes, notamment une partagée par Scientific American. Cette carte se concentre sur les silos de missiles situés dans des états comme le Colorado, le Wyoming, le Nebraska, le Montana et le Dakota du Nord. L’idée, c’est de voir où l’on serait le moins exposé.Attaquer un de ces silos, ce n’est pas une mince affaire. Il faudrait, paraît-il, une ou deux têtes nucléaires par silo, avec une puissance explosive équivalente à 100 000 tonnes de TNT. Vous imaginez le désastre ? Ça créerait des boules de feu gigantesques qui vaporiseraient tout aux alentours et des ondes de choc destructrices capables de démolir les missiles dans leurs tubes de lancement. Pas vraiment le genre d’endroit où on a envie de passer ses vacances, si vous voyez ce que je veux dire.

Aux USA, certains états seraient moins touchés : une liste à prendre avec des pincettes

Alors, en se basant sur la distance par rapport à ces cibles potentielles, Newsweek a dressé une liste des états qui seraient, disons, les ‘moins pires’. Attention, hein, ‘moins pires’, ça ne veut pas dire ‘paradis sur terre’ dans un tel contexte. Cette liste comprend : le Maine, le New Hampshire, le Vermont, le Massachusetts, Rhode Island, le Connecticut, New York, le New Jersey, la Pennsylvanie, le Delaware, le Maryland, le District de Columbia, la Virginie, la Virginie-Occidentale, la Caroline du Nord, la Caroline du Sud, la Géorgie, la Floride, l’Alabama, le Mississippi, le Tennessee, le Kentucky, l’Ohio, l’Indiana et le Michigan. En gros, ceux qui sont les plus éloignés des silos.C’est une longue liste, c’est vrai. Mais est-ce que ça veut dire qu’on y serait vraiment en sécurité ? J’ai comme un doute. Enfin, c’est toujours une information à prendre, au cas où… même si, entre nous, on préférerait que tout ça reste de la pure fiction, n’est-ce pas ? On a beau dire, savoir ces choses, c’est un peu angoissant, mais peut-être que c’est aussi une façon de ne pas être complètement pris au dépourvu. Allez savoir.

Selon la source : newsweek.com